Depuis le 19 janvier 2013, un nouveau permis de conduire dit "européen" a été adopté par les différents pays membres de l'Union Européenne, selon des règles et des catégories harmonisées. Que vous soyez nouveau ou ancien conducteur, voici les informations essentielles sur les modifications apportées.
Une carte à puce
Depuis le 16 septembre 2013, un nouveau format de permis de conduire est entré en vigueur, en remplacement du permis rose traditionnel. Sous la forme d'une carte sécurisée à l'aide d'une puce électronique et d'une bande magnétique, ce nouveau permis s'est adapté à l'ensemble des pays d'Europe.
La puce contient différents renseignements comme l'état civil, les catégories de permis obtenues, les éventuelles restrictions, les dates de délivrance et de fin de validité du titre. En revanche, elle ne contient aucune information sur le nombre de points ou l'historique des infractions.
De nouvelles catégories de permis
Dans le cadre de cette transformation, pour une meilleure harmonisation vis-à-vis des autres pays d'Europe, un travail a également été mené sur les catégories de permis :
La catégorie AM qui s'adresse aux conducteurs de cyclomoteurs et de voiturettes.
La catégorie A a également fait l'objet d'un remaniement selon un principe de progressivité de 14 à 24 ans :
• la mention « AM » concerne les motocyclettes aux cylindres inférieurs à 50 cm3, qui peuvent être conduites dès 14 ans ;
• la mention « A1 » fait référence aux motocyclettes de 50 à 125 cm3. Il faut avoir 16 ans pour être autorisé à en avoir une ;
• la mention « A2 » catégorise les véhicules d'une puissance maximale de 35 kW, qui peuvent être conduits à partir de 18 ans.
De leur côté, les catégories C et D se voient dotées d'une part, des sous-catégories C1 et C1E (véhicules de plus de 3,5 tonnes) et, d'autre part, D1 et D1E (pour les véhicules affectés au transport en commun de personnes).
Des démarches simplifiées
A ces modifications, s'ajoutent des changements motivés par la simplification des démarches :
• Le fin déplacement au guichet de la Préfecture, le permis étant adressé directement au domicile du titulaire ;
• la consultation des points sur un site Internet dédié ;
• la reconnaissance du permis partout en Europe ;
• le renouvellement simplifié tous les 15 ans pour les permis A et B et 5 ans pour les permis C et D.
Permis européen : qui est concerné ?
Si les permis des nouveaux conducteurs depuis le 16 septembre 2013 prennent systématiquement la forme de ce nouveau permis européen, les détenteurs du permis rose cartonné n'ont pas besoin de le changer dans l'immédiat, puisque celui-ci reste valable jusqu'au 19 janvier 2033.
A qui le nouveau permis s'adresse-t-il dans l'immédiat ? Hormis les nouveaux titulaires du titre, celui-ci s'avère nécessaire uniquement pour les personnes ajoutant une nouvelle catégorie, ainsi que les titulaires dont le permis, arrivé à échéance, doit être renouvelé et ceux ayant fait l'objet d'une perte ou d'un vol de papiers.
Si vous avez obtenu votre permis de conduire avant le 19 janvier 2013, il vous faudra attendre que la Préfecture vous contacte pour procéder au remplacement de votre titre. Les démarches de déploiement seront initiées progressivement de 2015 à 2033 pour les 38 millions de titres de permis de conduire devant être remplacés en France.
Tuesday, 26 February 2019
PERMIS DE CONDUIRE EUROPEEN
Obtenir un permis de conduire dans l'UE
Pour obtenir un permis de conduire européen, vous devez :
Avoir votre résidence habituelle dans un pays de l'UE ;
Avoir l'âge minimal requis ;
Satisfaire aux exigences médicales minimales ;
Réussir un examen de conduite.
Consultez les règles sur la reconnaissance et la validité des permis de conduire dans l'UE.
Reconnaissance et validité du permis de conduire
Permis de conduire européens
Un permis de conduire délivré par un pays de l'UE est reconnu dans toute l'UE.
Si vous vous installez dans un autre pays de l'UE, vous ne devrez en principe pas échanger votre permis. Vous pouvez conduire dans votre pays d'accueil pour autant que:
votre permis soit valable;
vous ayez l' âge requis pour conduire un véhicule de la catégorie correspondante;
votre permis n'ait pas été suspendu, limité ou révoqué par le pays de délivrance.
Les catégories reconnues dans tous les pays de l'UE sont les suivantes: AM, A1, A2, A, B, BE, B1, C1, C1E, C, CE, D1, D1E, D et DE.
Consultez les règles et exceptions en matière de renouvellement et d'échange de permis si vous vous installez dans un autre pays de l'UE.
Renouvellement et échange du permis de conduire
Vous ne pouvez posséder qu'un seul permis de conduire européen à la fois. Ce permis est délivré par les autorités du pays de l'UE dans lequel vous résidez habituellement.
Si vous déménagez dans un autre pays de l'UE et que votre permis a été perdu, volé, endommagé ou qu'il est parvenu à expiration, vous devez le renouveler, le remplacer ou l'échanger dans le pays dans lequel vous avez votre résidence habituelle.
Informez-vous également sur ce que vous devez faire si votre permis de conduire est perdu ou volé alors que vous voyagez à l'étranger.
Échanger son permis
En cas de déménagement dans un autre pays de l'UE, vous ne devez pas en principe changer votre permis de conduire. Vous pouvez utiliser votre permis actuel tant qu'il reste valable.
Vous pouvez, si vous le souhaitez, échanger votre permis de conduire contre un permis équivalent dans votre nouveau pays de résidence.
Vous devrez apporter la preuve que vous êtes un résident de ce pays et que vous remplissez les conditions pour avoir un permis de conduire (âge minimum requis, état de santé, etc.).
Avant d'échanger votre permis, l'administration contactera les autorités de votre précédent pays de résidence afin de vérifier que votre permis n'a pas fait l'objet d'une mesure de restriction, de suspension ou de retrait du droit de conduire.
Échange obligatoire
Si vous résidez à l'étranger, vous devrez échanger votre permis de conduire contre un permis local :
Si votre permis est perdu, volé ou endommagé ;
Après 2 ans passés dans votre pays de résidence habituelle, si vous possédez un permis valable à vie (uniquement si ce pays l'exige);
Si vous avez commis une infraction routière dans votre pays de résidence.
Une fois que vous avez échangé votre permis de conduire d'origine contre un permis de votre pays de résidence, vous serez soumis à la législation de ce pays (p. ex. en ce qui concerne la durée de validité du permis et les contrôles médicaux).
Histoire vécue
Monica vit à Chypre et possède un permis de conduire italien qui a été endommagé. Pour obtenir un nouveau permis, elle devra échanger son permis italien contre un permis chypriote. Celui-ci aura une durée de validité de 15 ans, et non de 10 ans comme en Italie.
Renouveler son permis de conduire
Si vous déménagez dans un autre pays de l'UE et que votre permis de conduire arrive à expiration, vous devrez le renouveler dans le pays dans lequel vous avez votre résidence habituelle .
Si votre permis fait l'objet d'une mesure de suspension, de restriction, de retrait ou d'annulation du droit de conduire dans l'État membre qui l'a délivré, il ne pourra pas être renouvelé.
Informations par pays
Vous vivez à l'étranger et vous devez renouveler votre permis de conduire ou remplacer un permis perdu? Vérifier les formalités dans le pays où vous vivez:
Format standard
Depuis 2013, tous les permis délivrés dans l'UE ont un format standard: un document plastifié de type carte de crédit avec une photo du titulaire, dont les éléments de sécurité ont été renforcés.
Votre ancien permis reste valable, mais le nouveau modèle vous sera délivré en cas de renouvellement (ou au plus tard en 2033).
Si vous possédez un permis sans limite de validité, vérifiez auprès des autorités nationales quand vous devez l'échanger contre un nouveau modèle.
Il existe plus de 110 types de permis européens valables dans l'UE.
En savoir plus sur votre modèle de permis : description physique, éléments de sécurité, droits et catégories de véhicules qui y sont associés.
Validité dans les différents pays de l'UE
Lorsque votre permis arrive à expiration, vous devez le renouveler dans le pays dans lequel vous résidez habituellement.
Votre nouveau permis peut avoir une période de validité différente et sera soumis aux éventuelles restrictions et conditions applicables dans votre pays d'accueil.
10 ans: Belgique, Bulgarie, Croatie, Espagne, Estonie, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovénie, Suède et Royaume-Uni
15 ans: Allemagne, Autriche, Chypre, Danemark, Finlande, France, Grèce, Pologne et Slovaquie
Permis de conduire provisoires
Les permis provisoires ou internationaux (ou tout autre certificat délivré par votre pays d'origine) ne sont pas réglementés au niveau de l'UE et il est possible qu'ils ne soient pas reconnus dans les autres pays de l'UE.
Si vous possédez un permis provisoire et si vous vous installez dans un autre pays de l'UE, renseignez-vous sur les règles applicables auprès de l' autorité nationale compétente dans ce pays.
Reconnaissance des permis européens délivrés en échange de permis non européens
Si vous possédez un permis de conduire européen qui vous a été délivré en échange d'un permis non européen et si vous souhaitez vous installer dans un autre pays de l'UE, sachez qu'il est possible que votre nouveau permis ne soit pas reconnu dans ce pays. La décision appartient à chaque pays de l'UE.
Vous devez vous renseigner auprès des autorités compétentes de votre pays d'accueil pour connaître les conditions de reconnaissance des permis délivrés en dehors de l'UE.
Le permis de conduire européen qui vous a été remis en échange de votre permis non européen doit contenir un code indiquant le pays initial de délivrance (exemple: 70.0123456789.NL).
Lieu de résidence habituelle
Vous ne pouvez demander un permis que dans le pays dans lequel vous résidez habituellement ou régulièrement.
Vous devez y résider au moins 185 jours par année civile en raison d'attaches personnelles ou professionnelles.
Si vous avez des attaches personnelles ou professionnelles dans au moins deux pays de l'UE, votre résidence habituelle est le pays dans lequel vous avez des attaches personnelles (pour autant que vous vous y rendiez régulièrement). Cette dernière condition ne s'applique pas si vous séjournez dans un pays de l'UE pour y effectuer une mission à durée déterminée.
Si vous vous installez dans un autre pays de l'UE pour suivre des études supérieures, votre résidence habituelle ne change pas. Vous pouvez toutefois demander un permis dans ce pays en prouvant que vous y étudiez depuis au moins 6 mois.
Âge minimal
Vérifiez si vous avez l'âge requis pour conduire le véhicule souhaité :
Catégorie Type de véhicule Âge minimal
AM
A1
B1 Cyclomoteur
Motocycle léger
Quadricycle 16 ans
A2
B, BE
C1, C1E Motocycle standard
Voiture
Véhicule de taille moyenne 18 ans
A Motocycle lourd 20 ans
C, CE
D1, D1E Véhicule de grande taille
Minibus 21 ans
D, DE Autobus 24 ans
Certains pays de l'UE peuvent fixer des exigences supplémentaires ou des limites d'âge plus ou moins élevées.
En règle générale, pour obtenir un permis de catégorie A2, vous devez avoir au moins deux ans d'expérience dans la conduite d'un motocycle de catégorie A1.
Pour obtenir un permis de catégorie A, vous devez avoir au moins deux ans d'expérience dans la conduite d'un véhicule de catégorie A2.
Vous pouvez également obtenir votre permis directement dans la catégorie souhaitée si vous avez atteint un âge minimal supérieur, généralement 24 ans.
Il n'y a pas de limite d'âge pour être titulaire d'un permis de conduire. Votre permis reste valable aussi longtemps que vous êtes médicalement apte à conduire.
Aptitude médicale
Avant de délivrer un permis, les autorités du pays de l'UE concerné doivent vérifier si vous êtes apte à conduire.
Les examens médicaux sont différents selon la catégorie de permis, mais ils portent généralement sur:
la vision;
l'audition;
la mobilité;
les maladies cardiaques;
le diabète;
les troubles neurologiques;
la santé mentale;
L'abus d'alcool et la toxicomanie ;
les problèmes rénaux.
Certains pays peuvent exiger une visite de contrôle à chaque renouvellement du permis ou à partir d'un certain âge.
Les conducteurs de poids lourds ou d'autobus doivent passer une visite médicale tous les 5 ans. Des visites médicales régulières sont parfois exigées pour d'autres conducteurs professionnels ( de taxi ou d'ambulance, par ex.).
Formation des conducteurs et examen de conduite
Il n'existe pas de réglementation européenne en ce qui concerne la formation des conducteurs, les auto-écoles et les moniteurs d'auto-école. Chaque pays de l'UE peut fixer librement les règles relatives à la formation des conducteurs.
L'UE fixe toutefois des normes minimales en ce qui concerne:
l' examen de conduite: vous devez réussir un examen pratique et une épreuve théorique;
les examinateurs: qualification initiale, assurance de qualité et formation continue.
Pour obtenir un permis de conduire européen, vous devez :
Avoir votre résidence habituelle dans un pays de l'UE ;
Avoir l'âge minimal requis ;
Satisfaire aux exigences médicales minimales ;
Réussir un examen de conduite.
Consultez les règles sur la reconnaissance et la validité des permis de conduire dans l'UE.
Reconnaissance et validité du permis de conduire
Permis de conduire européens
Un permis de conduire délivré par un pays de l'UE est reconnu dans toute l'UE.
Si vous vous installez dans un autre pays de l'UE, vous ne devrez en principe pas échanger votre permis. Vous pouvez conduire dans votre pays d'accueil pour autant que:
votre permis soit valable;
vous ayez l' âge requis pour conduire un véhicule de la catégorie correspondante;
votre permis n'ait pas été suspendu, limité ou révoqué par le pays de délivrance.
Les catégories reconnues dans tous les pays de l'UE sont les suivantes: AM, A1, A2, A, B, BE, B1, C1, C1E, C, CE, D1, D1E, D et DE.
Consultez les règles et exceptions en matière de renouvellement et d'échange de permis si vous vous installez dans un autre pays de l'UE.
Renouvellement et échange du permis de conduire
Vous ne pouvez posséder qu'un seul permis de conduire européen à la fois. Ce permis est délivré par les autorités du pays de l'UE dans lequel vous résidez habituellement.
Si vous déménagez dans un autre pays de l'UE et que votre permis a été perdu, volé, endommagé ou qu'il est parvenu à expiration, vous devez le renouveler, le remplacer ou l'échanger dans le pays dans lequel vous avez votre résidence habituelle.
Informez-vous également sur ce que vous devez faire si votre permis de conduire est perdu ou volé alors que vous voyagez à l'étranger.
Échanger son permis
En cas de déménagement dans un autre pays de l'UE, vous ne devez pas en principe changer votre permis de conduire. Vous pouvez utiliser votre permis actuel tant qu'il reste valable.
Vous pouvez, si vous le souhaitez, échanger votre permis de conduire contre un permis équivalent dans votre nouveau pays de résidence.
Vous devrez apporter la preuve que vous êtes un résident de ce pays et que vous remplissez les conditions pour avoir un permis de conduire (âge minimum requis, état de santé, etc.).
Avant d'échanger votre permis, l'administration contactera les autorités de votre précédent pays de résidence afin de vérifier que votre permis n'a pas fait l'objet d'une mesure de restriction, de suspension ou de retrait du droit de conduire.
Échange obligatoire
Si vous résidez à l'étranger, vous devrez échanger votre permis de conduire contre un permis local :
Si votre permis est perdu, volé ou endommagé ;
Après 2 ans passés dans votre pays de résidence habituelle, si vous possédez un permis valable à vie (uniquement si ce pays l'exige);
Si vous avez commis une infraction routière dans votre pays de résidence.
Une fois que vous avez échangé votre permis de conduire d'origine contre un permis de votre pays de résidence, vous serez soumis à la législation de ce pays (p. ex. en ce qui concerne la durée de validité du permis et les contrôles médicaux).
Histoire vécue
Monica vit à Chypre et possède un permis de conduire italien qui a été endommagé. Pour obtenir un nouveau permis, elle devra échanger son permis italien contre un permis chypriote. Celui-ci aura une durée de validité de 15 ans, et non de 10 ans comme en Italie.
Renouveler son permis de conduire
Si vous déménagez dans un autre pays de l'UE et que votre permis de conduire arrive à expiration, vous devrez le renouveler dans le pays dans lequel vous avez votre résidence habituelle .
Si votre permis fait l'objet d'une mesure de suspension, de restriction, de retrait ou d'annulation du droit de conduire dans l'État membre qui l'a délivré, il ne pourra pas être renouvelé.
Informations par pays
Vous vivez à l'étranger et vous devez renouveler votre permis de conduire ou remplacer un permis perdu? Vérifier les formalités dans le pays où vous vivez:
Format standard
Depuis 2013, tous les permis délivrés dans l'UE ont un format standard: un document plastifié de type carte de crédit avec une photo du titulaire, dont les éléments de sécurité ont été renforcés.
Votre ancien permis reste valable, mais le nouveau modèle vous sera délivré en cas de renouvellement (ou au plus tard en 2033).
Si vous possédez un permis sans limite de validité, vérifiez auprès des autorités nationales quand vous devez l'échanger contre un nouveau modèle.
Il existe plus de 110 types de permis européens valables dans l'UE.
En savoir plus sur votre modèle de permis : description physique, éléments de sécurité, droits et catégories de véhicules qui y sont associés.
Validité dans les différents pays de l'UE
Lorsque votre permis arrive à expiration, vous devez le renouveler dans le pays dans lequel vous résidez habituellement.
Votre nouveau permis peut avoir une période de validité différente et sera soumis aux éventuelles restrictions et conditions applicables dans votre pays d'accueil.
10 ans: Belgique, Bulgarie, Croatie, Espagne, Estonie, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovénie, Suède et Royaume-Uni
15 ans: Allemagne, Autriche, Chypre, Danemark, Finlande, France, Grèce, Pologne et Slovaquie
Permis de conduire provisoires
Les permis provisoires ou internationaux (ou tout autre certificat délivré par votre pays d'origine) ne sont pas réglementés au niveau de l'UE et il est possible qu'ils ne soient pas reconnus dans les autres pays de l'UE.
Si vous possédez un permis provisoire et si vous vous installez dans un autre pays de l'UE, renseignez-vous sur les règles applicables auprès de l' autorité nationale compétente dans ce pays.
Reconnaissance des permis européens délivrés en échange de permis non européens
Si vous possédez un permis de conduire européen qui vous a été délivré en échange d'un permis non européen et si vous souhaitez vous installer dans un autre pays de l'UE, sachez qu'il est possible que votre nouveau permis ne soit pas reconnu dans ce pays. La décision appartient à chaque pays de l'UE.
Vous devez vous renseigner auprès des autorités compétentes de votre pays d'accueil pour connaître les conditions de reconnaissance des permis délivrés en dehors de l'UE.
Le permis de conduire européen qui vous a été remis en échange de votre permis non européen doit contenir un code indiquant le pays initial de délivrance (exemple: 70.0123456789.NL).
Lieu de résidence habituelle
Vous ne pouvez demander un permis que dans le pays dans lequel vous résidez habituellement ou régulièrement.
Vous devez y résider au moins 185 jours par année civile en raison d'attaches personnelles ou professionnelles.
Si vous avez des attaches personnelles ou professionnelles dans au moins deux pays de l'UE, votre résidence habituelle est le pays dans lequel vous avez des attaches personnelles (pour autant que vous vous y rendiez régulièrement). Cette dernière condition ne s'applique pas si vous séjournez dans un pays de l'UE pour y effectuer une mission à durée déterminée.
Si vous vous installez dans un autre pays de l'UE pour suivre des études supérieures, votre résidence habituelle ne change pas. Vous pouvez toutefois demander un permis dans ce pays en prouvant que vous y étudiez depuis au moins 6 mois.
Âge minimal
Vérifiez si vous avez l'âge requis pour conduire le véhicule souhaité :
Catégorie Type de véhicule Âge minimal
AM
A1
B1 Cyclomoteur
Motocycle léger
Quadricycle 16 ans
A2
B, BE
C1, C1E Motocycle standard
Voiture
Véhicule de taille moyenne 18 ans
A Motocycle lourd 20 ans
C, CE
D1, D1E Véhicule de grande taille
Minibus 21 ans
D, DE Autobus 24 ans
Certains pays de l'UE peuvent fixer des exigences supplémentaires ou des limites d'âge plus ou moins élevées.
En règle générale, pour obtenir un permis de catégorie A2, vous devez avoir au moins deux ans d'expérience dans la conduite d'un motocycle de catégorie A1.
Pour obtenir un permis de catégorie A, vous devez avoir au moins deux ans d'expérience dans la conduite d'un véhicule de catégorie A2.
Vous pouvez également obtenir votre permis directement dans la catégorie souhaitée si vous avez atteint un âge minimal supérieur, généralement 24 ans.
Il n'y a pas de limite d'âge pour être titulaire d'un permis de conduire. Votre permis reste valable aussi longtemps que vous êtes médicalement apte à conduire.
Aptitude médicale
Avant de délivrer un permis, les autorités du pays de l'UE concerné doivent vérifier si vous êtes apte à conduire.
Les examens médicaux sont différents selon la catégorie de permis, mais ils portent généralement sur:
la vision;
l'audition;
la mobilité;
les maladies cardiaques;
le diabète;
les troubles neurologiques;
la santé mentale;
L'abus d'alcool et la toxicomanie ;
les problèmes rénaux.
Certains pays peuvent exiger une visite de contrôle à chaque renouvellement du permis ou à partir d'un certain âge.
Les conducteurs de poids lourds ou d'autobus doivent passer une visite médicale tous les 5 ans. Des visites médicales régulières sont parfois exigées pour d'autres conducteurs professionnels ( de taxi ou d'ambulance, par ex.).
Formation des conducteurs et examen de conduite
Il n'existe pas de réglementation européenne en ce qui concerne la formation des conducteurs, les auto-écoles et les moniteurs d'auto-école. Chaque pays de l'UE peut fixer librement les règles relatives à la formation des conducteurs.
L'UE fixe toutefois des normes minimales en ce qui concerne:
l' examen de conduite: vous devez réussir un examen pratique et une épreuve théorique;
les examinateurs: qualification initiale, assurance de qualité et formation continue.
Thursday, 21 February 2019
IDÉES DE VACANCES EN AUSTRALIE
En partant de chacun de nos points d'arrivée internationaux, ces portions d'itinéraires flexibles de trois semaines vous donnent une idée de tout ce que vous avez le temps de voir et de faire lors d'un séjour, même court, en Australie. Vous pouvez alors les diviser ou les ajouter les unes aux autres pour concevoir un itinéraire qui répond à vos exigences : temps disponible, lieu d'arrivée et liste des curiosités à voir absolument. Jonglez entre la ville, la côte et la nature sauvage, ou combinez le Centre rouge avec la forêt tropicale des Daintree et la Grande barrière de corail. L'Australie est un grand pays, mais en préparant bien son séjour, il est possible de couvrir beaucoup de paysages différents en l'espace de quelques semaines seulement.
Séjour tourisme en Australie : les formalités indispensables
Envie d'ailleurs ? De plus en plus populaire, l'Australie est une destination vacances au bout du monde qui offre une immense variété de paysages et une grande richesse de faune. Pour en profiter en toute tranquillité dans le cadre d'un séjour touristique, voici un petit résumé de toutes les démarches à accomplir pour mieux partir en séjour tourisme en Australie !
Pour être autorisé à faire votre demande de visa et pénétrer sur le territoire australien, vous devrez avant toute autre chose détenir un passeport valide. Si ce n'est pas encore votre cas, pas de panique : cette démarche très simple s'effectue auprès de votre mairie. Pour un départ confortable, prévoyez de faire votre demande au moins un mois à l'avance, le délai moyen de délivrance du passeport étant de 3 semaines. À la mairie, on vous demandera simplement de fournir :
Votre carte d'identité nationale
Une photocopie de votre acte de naissance
Un justificatif de domicile (facture d'eau, d'électricité, de gaz ou de téléphone)
Deux photos d'identité
86 € de timbres fiscaux - ces derniers s'achètent en bureau de tabac, dans une trésorerie ou au SIE, le service des impôts des entreprises.
Si vous avez des enfants, il est important de signaler qu'ils devront également disposer de leur propre passeport individuel. La demande se fait de la même façon pour tout le monde, mineurs comme majeurs pour un séjour tourisme.
Dernier détail, si vous souhaitez faire figurer un nom d'usage sur votre passeport, il vous faudra apporter quelques pièces complémentaires :
Pour indiquer le nom des deux parents, il est nécessaire de fournir un acte d'état civil faisant apparaître la double filiation,
Pour indiquer le nom d'époux/se, il vous faudra un acte de naissance de moins de 3 mois mentionnant votre mariage, ou à défaut la copie intégrale de l'acte de mariage,
Pour indiquer le nom d'un(e) ex époux/se, la décision de justice mentionnant votre droit de porter ce nom, ou une autorisation de votre ex conjoint.
Une fois obtenu, votre passeport sera valide pendant 10 ans.
Séjour tourisme : Le Visa
Pour vous rendre en Australie, il vous faudra absolument faire une demande de visa touriste. Plusieurs options s'offrent alors à vous :
L'eVisitor conviendra à la plupart des gens. Pour l'obtenir, il suffit d'en faire gratuitement la demande par internet sur le site du bureau d'immigration australien. Une fois en poche, l'eVisitor vous permettra d'entrer et sortir d'Australie à volonté pendant 12 mois, tant que chacun de vos séjours ne dure pas plus de 3 mois.
L'ETA (subclass 601) fonctionne comme l'eVisitor, mais le demander vous coûtera AU$20 ! Il s'agit d'un visa touriste avant tout destiné aux citoyens de pays non-éligibles à l'eVisitor. Mais que vous soyez français, belge ou suisse, l'eVisitor vous est ouvert et l'ETA est donc inutile.
Le Visitor Visa (subclass 600)s'adresse aux touristes longue durée et vous permet de rester jusqu'à 12 mois d'affilée en Australie. Il peut également être demandé directement depuis l'Australie afin d'étendre votre séjour si vous êtes déjà sur place avec un eVisitor.
Ce luxe a un prix : le Visitor Visa vous coûtera AU$140 si vous le demandez d'office depuis la France, et AU$345 si vous le demandez comme extension de votre visa touriste en Australie. Pour en savoir plus, consultez notre article dédié » Tout savoir sur le Visitor Visa (subclass 600) « .
L'ensemble des visas touristes ont quelques règles en commun, à savoir qu'il vous sera strictement interdit de travailler, mais que vous pourrez toutefois faire du volontariat si vous le souhaitez. Cela signifie notamment qu'il est possible de faire du WWOOFing (séjour chez l'habitant où vous travaillez en échange du gîte et du couvert) avec un visa touriste.
Tout comme le passeport, le visa est individuel et il sera donc crucial d'en demander un pour chacun des membres de la famille, mineurs ou majeurs. Si votre enfant de moins de 18 ans doit voyager seul ou avec un seul de ses parents, il sera impératif de fournir une autorisation signée par le ou les parent(s) qui ne l'accompagneront pas.
Séjour tourisme : Les billets d'avions
Une fois passeports et visas obtenus pour tout le monde, il sera temps de se pencher sur la question du billet d'avion. À moins que vous n'ayez l'intention de rester à l'étranger pendant plus d'un an, choisissez un aller-retour qui vous permettra d'obtenir le meilleur prix. Si vos projets de voyage sont flexibles et que vous n'êtes pas certain de votre date de retour, vous pourrez toujours opter pour un A/R à date ouvrable (billet dit « open »). Valide 1 an, ce dernier vous permettra de modifier votre date de retour sans frais.
Pour dénicher les meilleurs tarifs, n'hésitez pas à faire usage des nombreux moteurs de recherche et comparateurs de prix spécialisés dans le voyage disponibles sur internet : Opodo,
Expedia,
GoVoyages
ou Ebookers en sont quelques-uns. En plus de billets d'avion, ils proposent de rechercher des offres incluant vol, hôtel et/ou location de voiture qui permettent parfois des tarifs avantageux. Ne négligez pas pour autant de contacter également des agences de voyage traditionnelles et spécialisées sur votre destination, comme notre partenaire e-Australie.
Les conseillers pourront répondre à toutes vos questions et vous proposer des devis spécialement pensés pour les couples, les familles, les seniors ou les voyageurs en solo selon vos besoins et vous aideront à choisir parmi les nombreuses compagnies qui desservent l'Australie
Il faut savoir qu'aller en Australie depuis la France demande pas moins d'une vingtaine d'heures de vol, rendant l'escale obligatoire. Cette escale, vous pouvez choisir d'en faire une brève correspondance, avec en moyenne 2-3H d'attente en aéroport, ou de la transformer en une visite éclair : il est tout à fait possible de passer une ou plusieurs journées sur place avant de poursuivre sa route vers l'Australie. Cette escale se fait sans frais au niveau du billet d'avion, il suffit d'en faire la demande à votre agence de voyage. Bien sûr, sur place, vous devrez vous-même assurer vos frais d'hébergement et de déplacement.
Où faire escale ? Le choix du lieu d'escale sera directement affecté par le choix de votre compagnie aérienne. Par exemple :
Cathay Pacific : Hong Kong
China Southern : Canton
Emirates : Dubaï
Etihad : Abu Dhabi
Korean Air : Séoul
Malaysia Airlines : Kuala Lumpur
Qantas : Hong Kong ou Singapour
Qatar Airways : Doha
Singapore Airlines : Singapour
Vietnam Airlines : Ho Chi Minh City
Si l'une de ces villes vous fait envie, pensez-y au moment de réserver votre billet !
Prendre une assurance santé
Pour partir en toute sécurité et tranquillité d'esprit, il est impératif de prendre une assurance santé : si vous vous cassiez la jambe en Australie ou que vous tombiez malade pendant votre séjour toutisme, la sécu ne pourrait rien pour vous !
Première étape : vérifier la protection fournie par votre carte bancaire VISA, Mastercard
ou American Express.
Toutes ces cartes offrent différentes prestations d'assurance, couvrant notamment les annulations et modifications de voyage, la perte des bagages, la prise en charge des frais médicaux ou même une garantie de responsabilité civile.
Les avantages ? Cette protection ne vous coûte rien et couvre également votre conjoint et vos enfants à charge de moins de 25 ans s'ils vous accompagnent. Les défauts ? Les assurances des cartes bancaires sont généralement limitées à des voyages de 3 à 6 mois et n'offrent pas une couverture aussi complète ou des plafonds aussi hauts qu'une assurance santé privée. Il est impératif de bien vous renseigner sur les prestations exactes de votre carte afin de ne pas avoir de mauvaise surprise une fois sur place !
Si vous avez besoin d'une couverture plus longue et/ou plus complète, de nombreuses assurances privées s'adressent aux voyageurs. Si vous avez moins de 31 ans, vous pourrez bénéficier des tarifs les plus compétitifs auprès de nos partenaires TravelZen , ASFE , et
Si vous êtes plus âgé, ASFE propose d'autres formules adaptées qui pourront également vous convenir si vous partez pour 6 mois ou plus. De nombreux autres prestataires existent, il suffit simplement de faire une recherche. Quel que soit votre choix, il est une fois encore essentiel de prendre grand soin de bien lire votre contrat pour avoir une connaissance précise de votre couverture, ses plafonds et ses franchises.
Dernière note sur la santé : il n'y a aucun vaccin obligatoire à faire pour rentrer sur le territoire australien, vérifiez donc simplement que vous êtes à jour dans vos rappels DTP et Hépatite B. En revanche, selon les pays où vous avez séjourné auparavant, il vous sera peut-être demandé de faire une radio des poumons lors de votre demande de visa - il s'agit simplement là d'un dépistage de tuberculose.
Le permis de conduire international
Si vous avez l'intention de conduire en Australie pendant votre séjour tourisme, il vous faudra obtenir votre permis international avant de partir. Il s'agit simplement d'une traduction officielle de votre permis de conduire français, qui s'obtient gratuitement sur demande à votre préfecture.
Pour faire la demande, il vous suffit de vous présenter sur place avec votre permis et deux photos d'identité. Le permis international vous sera ensuite envoyé à domicile par courrier sous un délai moyen de 2 à 3 semaines - pensez donc à vous occuper de cela à l'avance aussi !
Votre permis international est valide 3 ans, mais il ne faut pas oublier qu'en tant que simple traduction il n'a aucune véritable valeur légale : il devra donc toujours être accompagné de votre permis français. Gardez les deux avec vous pendant toute la durée de votre voyage.
Votre argent en Australie
En Australie, la monnaie est le dollar australien, d'une valeur actuelle de 1€ = AU$1,58 (Taux février 2016), consultez le taux du jour sur XE.com.
Sur place, trois moyens de paiement s'offriront à vous : la carte bancaire, les espèces et les travellers chèques. Les VISA/Mastercard étant internationales, elles fonctionneront sans problèmes en Australie mais vous occasionneront des frais. À moins que vous n'ayez la chance d'avoir une carte d'une banque qui dispose d'un partenaire australien ! C'est le cas de la BNP, qui détient un partenariat avec la banque australienne Westpac.
Ce que cela signifie ? Vous aurez toujours des frais si vous utilisez votre carte BNP pour régler des achats, mais en revanche vous pourrez retirer du liquide gratuitement sur les distributeurs automatiques Westpac. Il suffit donc de s'organiser un peu pour réduire ses frais à néant.
Vos autres solutions ? Demander des travellers cheques à votre banque (attention, il s'agit d'une méthode sûre mais les travellers ne seront pas beaucoup acceptés en dehors des grandes villes), ou bien changer des euros en dollars australiens, que ce soit avant de partir ou une fois sur place.
Si vous partez pour un séjour touristique de longue durée (6 à 12 mois), vous pouvez également envisager d'ouvrir un compte bancaire australien et d'y transférer vos économies par virement électronique. Vous disposez alors d'une carte bancaire australienne vous permettant de régler toutes vos emplettes sans frais.
Séjour tourisme : Réduire les dépenses en France
La dernière étape de la préparation d'un séjour tourisme se déroule bel et bien en France et non en Australie : pensez à réduire au maximum vos dépenses en France pendant votre absence ! Cela commence tout simplement par s'assurer de bien éteindre tous vos appareils électriques, vos multiprises et votre chauffe-eau avant le départ.
Si vous partez pour plus d'un mois en séjour tourisme, pensez également à faire suspendre vos lignes téléphoniques (fixe et portable) : ce service ne coûte que quelques euros par mois, ce qui est beaucoup plus économique que de continuer à payer son abonnement plein pot.
Si vous êtes absent pendant un long moment, il est également envisageable de sous-louer votre appartement avec l'accord de votre propriétaire afin de ne pas avoir à débourser un loyer pendant vos vacances.
Autre détail : si vous êtes chômeur, n'oubliez pas de déclarer votre absence en séjour tourisme en Australie à Pôle Emploi. Pour des vacances de moins de 35 jours, vous pouvez simplement vous déclarer en congés et garder vos allocations. Pour une absence plus longue, vous devrez vous faire radier en déclarant ne plus être à la recherche d'un emploi. À votre retour de votre séjour tourisme, il vous sera toujours possible de vous ré-inscrire et vos allocations reprendront où elles en étaient.
Ne restera bientôt plus qu'à trouver quelqu'un pour nourrir le chat, arroser les plantes et prendre le courrier, et le bon voyage sera garanti !
Wednesday, 20 February 2019
Résidence permanente au Québec : effectuer votre demande - Etape 1
Résidence permanente, c'est quoi ?
Nombreux sont celles et ceux qui, séduits par leur expérience canadienne, souhaitent s'installer dans le pays. La demande de Résidence permanente est donc une solution particulièrement prisée, malgré le fait qu'elle soit longue et laborieuse.
Selon le site du gouvernement, il s'agit d' « une personne ayant obtenu le statut de résident permanent en immigrant au Canada, mais qui n'est pas encore citoyen canadien. Les résidents permanents sont citoyens d'autres pays ».
Droits
Profiter de certains avantages offerts aux citoyens canadiens, notamment la couverture santé.
Habiter, travailler et étudier n'importe où au Canada.
Demander la citoyenneté canadienne.
Être protégé par les lois canadiennes.
Vous ne pouvez en revanche pas voter (sauf pour les élections en France) ou vous présenter à une élection, ni accéder à certains postes exigeant une autorisation de sécurité de haut niveau, ni posséder un passeport canadien.
Obligations
Résider au Canada pendant au moins 2 ans (730 jours) sur une période de 5 ans à partir de l'obtention de la résidence permanente.
Vous pouvez cependant tout à fait vivre en dehors du Canada, tant que vous respectez cette même période de 2 ans.
La demande de Résidence permanente
Le pays applique une politique d'immigration choisie, sélectionnant les gens dont le profil et l'expérience sont susceptibles de contribuer à l'économie canadienne.
La demande s'effectue directement au niveau fédéral (gouvernement canadien) mais la plupart des régions imposent de passer d'abord par un programme de province (PCP*), avant de passer l'étape fédérale.
Pour le Québec, vous devrez obtenir un CSQ ou un PEQ au préalable, selon votre situation.
* PCP (Programme des Candidats des Provinces) : il permet au gouvernement d'une province de sélectionner des immigrants selon ses besoins économiques. Toutes les provinces sont concernées sauf le Nunavut et le Québec (qui a un autre programme).
La Résidence permanente au Québec
Comme précisé plus haut, pour obtenir une Résidence permanente au Québec, vous devez d'abord être sélectionné par le gouvernement québécois (provincial). Ensuite, obtenir l'admission définitive de la part du gouvernement canadien (fédéral).
Quelques termes à connaître
Le CSQ est le Certificat de Sélection du Québec. Il s'agit d'un document officiel émis par le gouvernement québécois. Il prouve que vous avez été sélectionné pour immigrer au Québec de façon permanente, en tant que travailleur qualifié. Il atteste que vous correspondez aux besoins du marché du travail québécois.
Le PEQ, Programme d'Expérience Québécoise est un programme accéléré qui permet d'obtenir le CSQ plus rapidement (20 jours environ). Il s'adresse aux travailleurs temporaires ayant occupé au moins 12 mois un emploi spécialisé (niveaux 0, A ou B selon la Classification nationale des professions) au Québec. Il bénéficie également aux étudiants étrangers diplômés du Québec (ou en voie de l'être).
Pour savoir si vous pouvez choisir le PEQ plutôt que le Programme régulier de sélection, le site de l'immigration Québec vous propose un rapide « questionnaire d'autoévaluation« .
Marche à suivre
Créer un profil et déposer un formulaire de déclaration d'intérêt en ligne, dans le portail Arrima*. Vous recevrez via ce portail une invitation du Ministère à présenter une demande d'immigration si votre profil correspond aux besoins du Québec.
Si vous souhaitez poursuivre vos démarches une fois l'invitation reçue, vous devrez présenter une demande de sélection permanente, à savoir remplir le formulaire de DI et payer les droits exigibles (785$ ou 798$) reliés à l'examen de la demande de sélection permanente. À compter de la date à laquelle vous avez été invité, vous avez maximum de 90 jours pour faire cela.
Faire parvenir au Ministère les documents requis. La liste sera envoyée sur Mon projet Québec. Vous aurez alors 90 jours pour les envoyer par la poste.
*Système mis en place depuis le 2 août 2018. Ceux qui ont déposé leurs demandes avant le 2 août 2018 n'ont pas à s'en occuper.
Sachez que la demande de CSQ peut se faire de l'étranger ou en étant déjà au Québec sous certaines conditions.
Une fois la demande soumise
Votre dossier passe par 3 étapes pour être traité. Le Ministère vérifie s'il est complet avec tous les documents requis et au bon format. Si c'est le cas, il fait l'objet d'un examen de sélection en fonction des critères établis. Le Ministère terminera ensuite l'analyse de votre demande et rendra sa décision.
> Plus d'informations sur les délais de traitement ici.
Pour évaluer votre demande de Résidence permanente au Québec, plusieurs facteurs seront pris en compte :
Votre formation
Votre expérience professionnelle
Votre âge
Vos connaissances du français et de l'anglais (Test d'évaluation à passer pour chaque langue et résultats à joindre au dossier)
Vos séjours effectués au Québec
Vos liens de parenté avec un citoyen canadien ou un résident permanent du Québec
Les caractéristiques de votre époux ou de votre conjoint de fait s'il vous accompagne
Votre capacité d'autonomie financière (Contrat d'autonomie financière à joindre au dossier)
Votre adaptabilité
>> Plus d'informations sur les facteurs de sélection ici.
Cette première partie de la demande de Résidence permanente au Québec peut être considérée comme la plus difficile dans cette province, puisqu'elle se base sur une véritable sélection des participants avec un système de points. En revanche, si par exemple votre travail fait partie des postes en pénuries sur le territoire, vous aurez certainement plus de chances d'obtenir votre CSQ.
Quelques éventualités
L'intention de refus
Si vous recevez une « intention de refus », pas de panique. Cela ne veut pas dire que votre demande est refusée, mais que vous avez 90 jours pour fournir certains documents (si les vôtres ne sont pas bons ou incomplets par exemple). Dans le cas où vous envoyez ces derniers avant la période des 90 jours et qu'ils sont jugés corrects, votre demande de Résidence permanente au Québec suivra son cours. Dans le cas contraire, elle sera immédiatement refusée.
La convocation à entrevue
Certaines personnes reçoivent une décision positive directement par la poste sans avoir été convoquées. D'autres sont appelées à passer une entrevue de sélection si le dossier n'est pas suffisant pour prendre la décision. Si le rendez-vous de convocation est satisfaisant, vous recevrez ensuite votre CSQ.
S votre demande de CSQ est acceptée, vous recevrez le document en 2 exemplaires. Le premier, appelé « Titulaire » est à garder précieusement avec vous. Le second, appelé « Immigration Canada » sera à envoyer au gouvernement canadien pour finaliser votre demande au niveau fédéral.
Nous pouvons désormais passer à l'étape 2 de la demande de résidence permanente.
EPOUX/ÉPOUSE/ENFANT - REGROUPEMENT AVEC UN CITOYEN BELGE
EPOUX/ÉPOUSE/ENFANT - REGROUPEMENT AVEC UN CITOYEN BELGE
Documents à soumettre par chaque demandeur :
Les demandeurs de visa doivent prendre un rendez-vous via le système de rendez-vous en ligne (cliquez ici) après avoir rempli le formulaire en ligne sur https://visaonweb.diplomatie.be
1. Un passeport valable pour au moins 12 mois; Copies de la première page du passeport ainsi que toutes les pages contenant des visas. Dans le cas d'un voyage accompagné d'un enfant, un document de voyage doit aussi être soumis pour l'enfant. Si l'enfant ne possède pas tel document de voyage, l'Ambassade ne pourra pas accepter la demande de visa, indépendamment de l'âge de l'enfant.
2. Un formulaire de demande complété en français, néerlandais, allemand ou anglais, signé et daté.
3. Trois photos en couleurs récentes et identiques.
4. Preuve du paiement de la redevance de visa de 200€. Ce montant doit être payé directement en Belgique sur le compte bancaire suivant:
IBAN : BE57 6792 0060 9235
BIC : PCHQBEBB
Banque : BPOST SA, Centrum Monnaie (sans numéro), 1000 Bruxelles
Destinataire : SPF Intérieur, Office des étrangers, Chaussée d'Anvers 59B, 1000 Bruxelles
5. Certificat de relations familiales (가족관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès de Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
6. Document de base (기본증명서). Ensemble avec le Certificat de relations familiales, ceci forme l'équivalent du certificat de naissance. Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
7. En cas d'époux : Certificat de mariage (혼인관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
8. Copie de la carte d'identité belge (recto/verso) et du passeport de la personne à rejoindre en Belgique.
9. Preuve de solvabilité (revenues stables, régulières et suffisantes) de la personne à rejoindre en Belgique (p.e. contrat de travail mentionnant le salaire exacte nette, fiches de paie, .).
10. Preuve de logement suffisant en Belgique (p.e. contrat de bail enregistré).
11. Preuve que tous les membres de la famille sont ou seront couverts par une assurance maladie en Belgique ou ont souscrit une assurance médicale en voyage. Cette dernière doit couvrir les frais médicaux, le rapatriement ainsi que les frais résultant d'un décès, pour un montant minimal de 30.000 euro.
12. Pour un enfant mineur d'âge, une autorisation pour départ absolu émanant d'un ou des parents.
!!! ATTENTION !!!
Tous les documents doivent être soumis accompagnés de 2 copies.
Tous les documents coréens doivent être apostillés (www.0404.go.kr) et notariés et traduits dans une des langues nationales belges (français, néerlandais ou allemand) ou en anglais.
Les demandes de visa doivent être soumises en personne à l'Ambassade. La Section Visa est ouvert chaque jour ouvrable de 9h00 à 12h00.
La Section Visa se réserve le droit de demander des documents supplémentaires.
Les personnes présentant des faux documents à l'Ambassade devront en subir les conséquences selon la législation en vigueur.
Le délais de traitement de votre demande dépends de sa qualité. La durée est généralement de 3 à 6 semaines. La Section Visa vous contactera dès votre demande traitée.
Pour toute information supplémentaire, veuillez vous référer au site web de l'Office des étrangers. Si vous avez d'autres questions, veuillez les envoyer par e-mail à seoul@diplobel.fed.be. L'Ambassade ne répond pas aux questions de visa par téléphone.
Documents à soumettre par chaque demandeur :
Les demandeurs de visa doivent prendre un rendez-vous via le système de rendez-vous en ligne (cliquez ici) après avoir rempli le formulaire en ligne sur https://visaonweb.diplomatie.be
1. Un passeport valable pour au moins 12 mois; Copies de la première page du passeport ainsi que toutes les pages contenant des visas. Dans le cas d'un voyage accompagné d'un enfant, un document de voyage doit aussi être soumis pour l'enfant. Si l'enfant ne possède pas tel document de voyage, l'Ambassade ne pourra pas accepter la demande de visa, indépendamment de l'âge de l'enfant.
2. Un formulaire de demande complété en français, néerlandais, allemand ou anglais, signé et daté.
3. Trois photos en couleurs récentes et identiques.
4. Preuve du paiement de la redevance de visa de 200€. Ce montant doit être payé directement en Belgique sur le compte bancaire suivant:
IBAN : BE57 6792 0060 9235
BIC : PCHQBEBB
Banque : BPOST SA, Centrum Monnaie (sans numéro), 1000 Bruxelles
Destinataire : SPF Intérieur, Office des étrangers, Chaussée d'Anvers 59B, 1000 Bruxelles
5. Certificat de relations familiales (가족관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès de Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
6. Document de base (기본증명서). Ensemble avec le Certificat de relations familiales, ceci forme l'équivalent du certificat de naissance. Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
7. En cas d'époux : Certificat de mariage (혼인관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
8. Copie de la carte d'identité belge (recto/verso) et du passeport de la personne à rejoindre en Belgique.
9. Preuve de solvabilité (revenues stables, régulières et suffisantes) de la personne à rejoindre en Belgique (p.e. contrat de travail mentionnant le salaire exacte nette, fiches de paie, .).
10. Preuve de logement suffisant en Belgique (p.e. contrat de bail enregistré).
11. Preuve que tous les membres de la famille sont ou seront couverts par une assurance maladie en Belgique ou ont souscrit une assurance médicale en voyage. Cette dernière doit couvrir les frais médicaux, le rapatriement ainsi que les frais résultant d'un décès, pour un montant minimal de 30.000 euro.
12. Pour un enfant mineur d'âge, une autorisation pour départ absolu émanant d'un ou des parents.
!!! ATTENTION !!!
Tous les documents doivent être soumis accompagnés de 2 copies.
Tous les documents coréens doivent être apostillés (www.0404.go.kr) et notariés et traduits dans une des langues nationales belges (français, néerlandais ou allemand) ou en anglais.
Les demandes de visa doivent être soumises en personne à l'Ambassade. La Section Visa est ouvert chaque jour ouvrable de 9h00 à 12h00.
La Section Visa se réserve le droit de demander des documents supplémentaires.
Les personnes présentant des faux documents à l'Ambassade devront en subir les conséquences selon la législation en vigueur.
Le délais de traitement de votre demande dépends de sa qualité. La durée est généralement de 3 à 6 semaines. La Section Visa vous contactera dès votre demande traitée.
Pour toute information supplémentaire, veuillez vous référer au site web de l'Office des étrangers. Si vous avez d'autres questions, veuillez les envoyer par e-mail à seoul@diplobel.fed.be. L'Ambassade ne répond pas aux questions de visa par téléphone.
Regroupement familial (Visa D - long séjour plus de 90 jours)
EPOUX/ÉPOUSE/ENFANT - REGROUPEMENT AVEC UN CITOYEN D'UN PAYS N'APPARTENANT PAS À L'UE OU L'EEE
Les demandeurs de visa doivent prendre un rendez-vous via le système de rendez-vous en ligne (cliquez ici) après avoir rempli le formulaire en ligne sur https://visaonweb.diplomatie.be
1. Un passeport valable pour au moins 12 mois; Copies de la première page du passeport ainsi que toutes les pages contenant des visas. Dans le cas d'un voyage accompagné d'un enfant, un document de voyage doit aussi être soumis pour l'enfant. Si l'enfant ne possède pas tel document de voyage, l'Ambassade ne pourra pas accepter la demande de visa, indépendamment de l'âge de l'enfant.
2. Un formulaire de demande complété en français, néerlandais, allemand ou anglais, signé et daté.
3. Trois photos en couleurs récentes et identiques.
4. Frais de visa de 234 000 KRW, de préférence par virement préalable sur le compte suivant :
Banque: KEB Hana Bank
Numéro de compte: 174-890002-35301
Destinataire: Embassy of Belgium
Détails du paiement: Nom du demandeur (comme indiqué dans le passeport)
5. Preuve du paiement de la redevance de visa de 200€. Ce montant doit être payé directement en Belgique sur le compte bancaire suivant:
IBAN : BE57 6792 0060 9235
BIC : PCHQBEBB
Banque : BPOST SA, Centrum Monnaie (sans numéro), 1000 Bruxelles
Destinataire : SPF Intérieur, Office des étrangers, Chaussée d'Anvers 59B, 1000 Bruxelles
Il est important que la communication du virement soit structurée de la façon suivante (la date étant la date de naissance du demandeur): NomPrénomNationalitéJJMMAAAA.
6. Certificat de mariage (혼인관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès de Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
7. Document de base (기본증명서). Ensemble avec le Certificat de relations familiales, ceci forme l'équivalent du certificat de naissance. Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
8. En cas d'époux : Certificat de mariage (혼인관계증명서). Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès du Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr).
9. Copie de la carte d'identité belge (recto/verso) et du passeport de la personne à rejoindre en Belgique.
10. Preuve de solvabilité (revenues stables, régulières et suffisantes) de la personne à rejoindre en Belgique (p.e. contrat de travail mentionnant le salaire exacte nette, fiches de paie, .).
11. Preuve de logement suffisant en Belgique (p.e. contrat de bail enregistré).
12. Preuve que tous les membres de la famille sont ou seront couverts par une assurance maladie en Belgique ou ont souscrit une assurance médicale en voyage. Cette dernière doit couvrir les frais médicaux, le rapatriement ainsi que les frais résultant d'un décès, pour un montant minimal de 30.000 euro.
13. Certificat médical. Chaque demandeur de visa doit faire compléter, signer et cacheter le formulaire de l'Ambassade (This hyperlink opens a new window) par un médecin. Le certificat ne peut pas dater de plus de six mois.. Vous pouvez vous rendre à la section des visas de l'un des hôpitaux suivants:
Severance Hospital Seoul: Centre de santé international, section visas TEL) 02 2228-5815 (Dr. YOO Bora, Dr. PARK Chanshin, Dr. LINTON John, Dr. KIM Kyuyeon ou Dr. KIM Sue) Plus d'informations est disponible ici.
Hôpital Yeouido St. Mary's de Séoul: TEL) 02-3779-1406 (Dr. KIM Minhee) Plus d'informations est disponible ici.
Inje University Haeundae Paik Hospital Busan : TEL) 051-797-0372 (Dr. KIM Daehwan, Dr. SUNWOO Yueun, Dr. RYU, Jiyoung) Plus d'informations est disponible ici.
Si vous choisissez un autre médecin, c'est possible. Cependant, dans ce cas, le certificat médical doit être légalisé par apostille auprès du Ministère des Affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr). Au cas où le Service Apostille demande une notarisation avant de vouloir apostiller le document, seul la notarisation basée sur la signature sera acceptée par l'Ambassade. Le certificat ne peut pas dater de plus de six mois.
14. Si la personne a plus de 18 ans, un certificat constatant l'absence de condamnations pour crimes ou délits de droit commun, émis par un bureau de police en Corée ou toute autorité compétente du pays de provenance. Le document doit être traduit dans une des langues nationales (français, néerlandais ou allemande) ou en anglais, notarié et légalisé par apostille auprès de Ministère des affaires étrangères coréen (www.0404.go.kr). Le certificat ne peut pas dater de plus de six mois.
15. Pour un enfant mineur d'âge, une autorisation pour départ absolu émanant d'un ou des parents.
!!! ATTENTION !!!
Tous les documents doivent être soumis accompagnés de 2 copies.
Tous les documents coréens doivent être apostillés (www.0404.go.kr) et notariés et traduits dans une des langues nationales belges (français, néerlandais ou allemand) ou en anglais.
Les demandes de visa doivent être soumises en personne à l'Ambassade. La Section Visa est ouvert chaque jour ouvrable de 9h00 à 12h00.
La Section Visa se réserve le droit de demander des documents supplémentaires.
Les personnes présentant des faux documents à l'Ambassade devront en subir les conséquences selon la législation en vigueur.
Le délais de traitement de votre demande dépends de sa qualité. La durée est généralement de 3 à 6 semaines. La Section Visa vous contactera dès votre demande traitée.
Pour toute information supplémentaire, veuillez vous référer au site web de l'Office des étrangers. Si vous avez d'autres questions, veuillez les envoyer par e-mail à seoul@diplobel.fed.be. L'Ambassade ne répond pas aux questions de visa par téléphone.
Les documents justificatifs a produire pour un regroupement familial
Lire plus
L'arrêt n°121/2013 de la Cour constitutionnelle
La circulaire du 13/12/2013
Le délai d'examen d'une demande de visa regroupement familial
Les documents justificatifs à produire dans le cadre d'un regroupement familial
27/04/2018
Bonne pratique :
Communiquez tout changement intervenu après l'introduction d'une demande de visa dans votre situation personnelle ou dans la situation personnelle du regroupant à l'Office des étrangers (gh.visa [at] ibz.fgov.be), afin qu'il en tienne compte lors de l'examen de la demande de regroupement familial (p.ex. un accident de travail entrainant une invalidité, un arrêt de travail en raison d'une maladie, un changement d'employeur, un chômage, un changement d'adresse,...) .
Sélectionnez votre situation et vous recevrez une information sur les documents justificatifs à produire avec votre demande de visa.
Vous êtes le conjoint, ou vous êtes lié au regroupant par un partenariat enregistré considéré comme équivalent à un mariage en Belgique (autrement dit, un partenariat enregistré en Allemagne, au Danemark, en Finlande, en Islande, en Norvège, au Royaume-Uni, ou en Suède) :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitéeen Belgique (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique (article 10bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes le partenaire enregistré conformément à une loi (autrement dit, en Belgique, une déclaration de cohabitation légale) :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitéeen Belgique (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique (article 10bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes l'enfant :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitée en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire (article 10bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un descendant :
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous avez plus de 18 ans, vous êtes célibataire, et vous êtes l'enfant handicapé d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitée ou temporairement, en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire.
Vous êtes le père ou la mère :
> d'un enfant belge mineur (article 40ter de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union mineur (article 40bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un ascendant d'un citoyen de l'Union majeur (article 40bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un membre de la famille éloigné d'un citoyen de l'Union (partenaire de fait, personne à charge) (article 47/1 de la loi du 15/12/1980).
Vous rejoignez un étranger auquel la Belgique a reconnu le statut de réfugié ou auquel la Belgique a accordé la protection subsidiaire.
Si vous accompagnez, ou que vous rejoignez, un ressortissant d'un État membre de l'Espace Économique Européen, lisez les informations destinées aux membres de famille d'un citoyen de l'Union.
L'arrêt n°121/2013 de la Cour constitutionnelle
La circulaire du 13/12/2013
Le délai d'examen d'une demande de visa regroupement familial
Les documents justificatifs à produire dans le cadre d'un regroupement familial
27/04/2018
Bonne pratique :
Communiquez tout changement intervenu après l'introduction d'une demande de visa dans votre situation personnelle ou dans la situation personnelle du regroupant à l'Office des étrangers (gh.visa [at] ibz.fgov.be), afin qu'il en tienne compte lors de l'examen de la demande de regroupement familial (p.ex. un accident de travail entrainant une invalidité, un arrêt de travail en raison d'une maladie, un changement d'employeur, un chômage, un changement d'adresse,...) .
Sélectionnez votre situation et vous recevrez une information sur les documents justificatifs à produire avec votre demande de visa.
Vous êtes le conjoint, ou vous êtes lié au regroupant par un partenariat enregistré considéré comme équivalent à un mariage en Belgique (autrement dit, un partenariat enregistré en Allemagne, au Danemark, en Finlande, en Islande, en Norvège, au Royaume-Uni, ou en Suède) :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitéeen Belgique (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique (article 10bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes le partenaire enregistré conformément à une loi (autrement dit, en Belgique, une déclaration de cohabitation légale) :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitéeen Belgique (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique (article 10bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes l'enfant :
> d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitée en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire (article 10 de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un ressortissant de pays tiers qui réside temporairement en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire (article 10bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un descendant :
> d'un citoyen de l'Union (article 40bis de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un Belge (article 40ter de la loi du 15/12/1980).
Vous avez plus de 18 ans, vous êtes célibataire, et vous êtes l'enfant handicapé d'un ressortissant de pays tiers qui séjourne de manière illimitée ou temporairement, en Belgique, de son conjoint, ou de son partenaire.
Vous êtes le père ou la mère :
> d'un enfant belge mineur (article 40ter de la loi du 15/12/1980) ;
> d'un citoyen de l'Union mineur (article 40bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un ascendant d'un citoyen de l'Union majeur (article 40bis de la loi du 15/12/1980).
Vous êtes un membre de la famille éloigné d'un citoyen de l'Union (partenaire de fait, personne à charge) (article 47/1 de la loi du 15/12/1980).
Vous rejoignez un étranger auquel la Belgique a reconnu le statut de réfugié ou auquel la Belgique a accordé la protection subsidiaire.
Si vous accompagnez, ou que vous rejoignez, un ressortissant d'un État membre de l'Espace Économique Européen, lisez les informations destinées aux membres de famille d'un citoyen de l'Union.
Vacances en juillet : où partir selon vos envies ?
Où partir en juillet pour profiter du soleil et se reposer à la plage ?
Le soleil, la chaleur, la température. tout indique qu'il est temps de préparer ses valises pour un séjour à la mer. Pas besoin d'aller très loin pour profiter du soleil et de la plage ! Le Sud et l'Ouest de la France offrent d'excellentes destinations balnéaires où vous pouvez conjuguer farniente, baignade et visites culturelles. On pense par exemple à Biarritz où la Côte Basque dévoile des kilomètres de plages préservées qui allient charme et tranquillité. Le climat est aussi favorable à Nice, à La Rochelle et sur l'île de Ré.
Dans le bassin méditerranéen, les températures grimpent et la chaleur peut devenir insupportable pour certains. Mais les conditions sont idéales pour profiter de la mer en veillant bien évidemment à appliquer une crème solaire à indice de protection élevé. En Espagne, vous pouvez vous prélasser sur la plage de Barcelone ou encore séjourner dans l'une des charmantes stations de la Costa del Sol en Andalousie. Avec leur climat idéal et le vent marin qui vient rafraîchir l'atmosphère, les îles Baléares sont également une destination de choix pour des vacances à la mer. La plage de Ses Illetes à Formentera figure parmi les plus beaux sites de l'archipel. Aux Canaries, on prend aussi plaisir à se détendre sur le littoral, loin de l'animation du continent. Tenerife, La Gomera, Grande Canarie, Fuerteventura. chaque île est un voyage en soi et une invitation au farniente.
Si vous préférez mettre le cap sur l'Italie, vous trouverez de véritables coins de paradis en Sicile. De l'autre côté de la mer, la Croatie dévoile un décor impressionnant entre terre et mer sur ses îles, telles que Brac, Hvar et Korcula. Les conditions climatiques sont aussi idéales en Grèce où ses îles inondées de soleil sauront satisfaire vos envies d'évasion. Pour un séjour axé sur les plaisirs balnéaires, l'île de Mykonos, la Crète et l'île de Samos recèlent de criques et de baies splendides. Toujours dans cette quête de petit paradis au soleil, vous trouverez également votre bonheur à Djerba en Tunisie, à Punta Cana en République Dominicaine, à La Réunion, aux Seychelles et à l'île Maurice.
Visites et culture au mois de juillet : où partir ?
Où partir en juillet pour un week-end ou un long séjour culturel ? Le choix est très vaste rien qu'en Europe. C'est en effet l'une des périodes les plus agréables dans l'hémisphère nord. Si dans le bassin méditerranéen (région Provence-Alpes-Côte d'Azur, l'Espagne, l'Italie, la Croatie, la Grèce), il est possible de concilier séjour à la mer et visites touristiques, ceux qui recherchent une destination plus originale profiteront de la chaleur estivale pour monter un peu plus au nord. Dans les pays scandinaves comme la Norvège, la Suède et le Danemark, les températures sont particulièrement douces, parfaites pour découvrir quelques-unes des plus belles capitales européennes, à l'instar de Copenhague et de Stockholm.
Au mois de juillet, plusieurs pays vivent au rythme de nombreux festivals culturels ou musicaux. C'est le cas de l'Allemagne où le séjour ne se résumera pas uniquement aux festivals rock et autre bon plan. Visitez Berlin, la Bavière ou encore Munich. De l'autre côté de la Manche, le climat est tout juste correct à Londres, mais pour les amoureux de l'Angleterre, le temps est favorable pour une petite escapade à Guernesey où un grand nombre d'attractions les attend : musées, jardins luxuriants, sites historiques et écologiques, etc. En Belgique, on s'attardera surtout sur les villes qui offrent un climat favorable, telles que Bruges, Liège et Oostende.
Ceux qui ont soif de découvertes et qui souhaitent une nouvelle approche culturelle pour leurs vacances d'été privilégieront les pays encore peu connus du grand public, comme la Bulgarie. Mystérieux, énigmatique, ce pays de l'Europe de l'Est renferme pourtant de vrais trésors, dont la cité de Varna que l'on surnomme la Perle de la mer Noire. La Biélorussie réserve aussi de belles surprises dans ses destinations phares comme Minsk où il ne faut pas manquer le Musée folklorique de Dudutki.
Et la France en juillet, où partir pour un séjour entre culture et histoire ? Bonne nouvelle, le climat est favorable sur tout le territoire. Vous pouvez profiter des températures agréables en Alsace pour découvrir Strasbourg et son centre historique classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, ou encore réserver un hôtel à Vichy, en Auvergne, pour profiter des vertus de ses eaux thermales et admirer ses joyaux d'architecture, comme l'église Saint-Louis et l'opéra de Vichy.
Des vacances nature et de la randonnée en juillet
C'est une excellente saison pour faire de la randonnée, à condition de choisir une destination où la chaleur n'est pas suffocante. En France, l'idéal est de longer le littoral pour profiter de l'atmosphère marine qui est à la fois tonifiante et vivifiante. À pied, à cheval ou à vélo, la Bretagne se laisse découvrir de différentes manières. De plus, il existe des randonnées accessibles aux familles ainsi qu'aux personnes à mobilité réduite. D'autres régions offrent de très bonnes conditions climatiques pour ceux qui veulent prendre le temps d'admirer les paysages. C'est le cas des îles grecques où la douceur du climat méditerranéen est propice au trekking et aux balades à dos d'âne. Vous avez le choix entre l'île de Corfou, la Crète avec les célèbres gorges de Samaria, et l'île de Naxos.
Le Maghreb est aussi un lieu de prédilection des aventuriers dans l'âme. Partez en 4x4 dans le désert tunisien, baladez-vous à dos de dromadaire à la découverte des pyramides d'Égypte ou faites du trekking au Maroc. On n'y pense pas toujours, mais le Canada est un autre paradis des randonneurs grâce à sa nature préservée et son relief très varié. D'ailleurs, on y trouve le plus long sentier de randonnée du monde : le sentier Transcanadien. Le climat est favorable un peu partout dans le pays, sauf à Resolute. Le temps est également propice pour entreprendre un voyage aux États-Unis. Le sentier des Appalaches, le Parc national de Yosemite ainsi que celui de Bryce Canyon sont autant de sites à découvrir au cours d'une randonnée pédestre dans le pays.
L'océan Indien entre dans l'hiver austral. Le soleil est au rendez-vous, les températures sont clémentes. toutes les conditions sont réunies pour vivre un séjour sportif axé sur la randonnée sur l'île de La Réunion et à Madagascar. L'île Maurice offre également de superbes paysages et des panoramas qui se laissent facilement découvrir au cours d'une longue balade : les 7 cascades, Black River Park, etc. Et pour ceux qui veulent en avoir plein la vue, rendez-vous au Kenya où le safari et le trek peuvent s'achever par une belle journée de détente à Mombasa, au bord de la mer.
Où passer des vacances sportives en juillet ?
Envie de vacances actives au soleil, mais vous ne savez pas où partir en juillet ? Si vous avez le goût de l'aventure, choisissez des destinations lointaines comme le Kenya qui propose une longue liste d'activités à cette période de l'année : parachutisme, parapente au-dessus de la Vallée du Rift, saut à l'élastique, escalade, golf, plongée, kitesurf, safari à pied ou à vélo. sensations fortes garanties ! Toujours en Afrique, vous pouvez vous adonner à l'alpinisme et à la pêche sportive à Madagascar, faire du canyoning et du VTT à La Réunion, ou encore faire de la plongée sous-marine en Tanzanie. D'autres pays africains jouissent d'un climat favorable au mois de juillet, comme l'Afrique du Sud, la Namibie et le Mozambique.
L'Europe offre autant de possibilités. À Madère, les plaisirs balnéaires sont indéniablement au rendez-vous, avec la plongée, le surf et le bodyboard. Les adeptes de plongée et de sports nautiques seront aussi conquis par la qualité des eaux de l'île de Milos en Grèce, des Açores, des îles Baléares et des Canaries. En Croatie, la température de l'eau incite à passer de belles journées à la plage pour s'adonner à diverses activités nautiques. Et pour ceux qui préfèrent les sports terrestres, le parc de Paklenica offre de nombreux sites d'escalade. Avec la nature qui s'éveille, la France réserve également d'incroyables surprises aux vacanciers en quête d'adrénaline et de sensations fortes. En Auvergne, le climat est agréable partout, d'Aurillac à Montluçon. Randonnée, sports en eaux vives, VTT, quad. il y en a pour toutes les envies ! L'aventure vous tend aussi les bras en Midi-Pyrénées, en Aquitaine et en Corse.
Où partir en famille au mois de juillet ?
Les vacances en famille en juillet, c'est le moment de décompresser pour les enfants, et surtout de s'amuser. Dans cette optique, il convient de privilégier les destinations balnéaires, comme l'Algarve au Portugal, la Catalogne ou l'Andalousie en Espagne, ou encore l'une des nombreuses îles grecques. Leur point commun ? Vous y trouverez de superbes plages familiales où les enfants pourront se baigner en toute sécurité. Les îles Baléares comptent aussi parmi les plus belles destinations pour une escapade familiale, en particulier Majorque qui possède des zoos, des aquariums et des parcs à thèmes en plus de ses innombrables plages idylliques. Autre destination familiale par excellence, l'archipel des Canaries a beaucoup à offrir aux familles en quête de dépaysement. Méharée, sortie en bateau, parcs aquatiques, rencontre avec des animaux exotiques. la liste est longue, et les enfants bénéficient souvent d'une réduction à l'entrée des sites.
Pour certains, un voyage en famille en juillet est l'occasion de vivre une expérience inédite. Dans ce cas, il vaut mieux choisir une destination lointaine et peu connue, comme Madagascar où le séjour rimera avec aventure et découverte. La visite des parcs nationaux qui abritent un grand nombre d'espèces de caméléons et de lémuriens plaira certainement aux petits et aux grands. Et si vous envisagez d'organiser votre premier voyage en Asie, privilégiez les grandes villes qui jouissent d'un climat idéal, comme Pékin ou Tokyo.
Ceux qui préfèrent multiplier les week-ends trouveront leur bonheur un peu partout en Europe. Pourquoi ne pas faire le tour des plus belles capitales européennes ? Voilà une belle occasion d'initier les enfants à l'histoire et à la culture. Londres, Rome, Cracovie, Amsterdam, Dublin et Lisbonne vous feront voyager dans le temps à leur manière. En France, même pour un court séjour, le Puy du Fou, le Futuroscope, le Parc Astérix et Disneyland Paris demeurent des valeurs sûres, d'autant plus que le climat est favorable en juillet.
Le soleil, la chaleur, la température. tout indique qu'il est temps de préparer ses valises pour un séjour à la mer. Pas besoin d'aller très loin pour profiter du soleil et de la plage ! Le Sud et l'Ouest de la France offrent d'excellentes destinations balnéaires où vous pouvez conjuguer farniente, baignade et visites culturelles. On pense par exemple à Biarritz où la Côte Basque dévoile des kilomètres de plages préservées qui allient charme et tranquillité. Le climat est aussi favorable à Nice, à La Rochelle et sur l'île de Ré.
Dans le bassin méditerranéen, les températures grimpent et la chaleur peut devenir insupportable pour certains. Mais les conditions sont idéales pour profiter de la mer en veillant bien évidemment à appliquer une crème solaire à indice de protection élevé. En Espagne, vous pouvez vous prélasser sur la plage de Barcelone ou encore séjourner dans l'une des charmantes stations de la Costa del Sol en Andalousie. Avec leur climat idéal et le vent marin qui vient rafraîchir l'atmosphère, les îles Baléares sont également une destination de choix pour des vacances à la mer. La plage de Ses Illetes à Formentera figure parmi les plus beaux sites de l'archipel. Aux Canaries, on prend aussi plaisir à se détendre sur le littoral, loin de l'animation du continent. Tenerife, La Gomera, Grande Canarie, Fuerteventura. chaque île est un voyage en soi et une invitation au farniente.
Si vous préférez mettre le cap sur l'Italie, vous trouverez de véritables coins de paradis en Sicile. De l'autre côté de la mer, la Croatie dévoile un décor impressionnant entre terre et mer sur ses îles, telles que Brac, Hvar et Korcula. Les conditions climatiques sont aussi idéales en Grèce où ses îles inondées de soleil sauront satisfaire vos envies d'évasion. Pour un séjour axé sur les plaisirs balnéaires, l'île de Mykonos, la Crète et l'île de Samos recèlent de criques et de baies splendides. Toujours dans cette quête de petit paradis au soleil, vous trouverez également votre bonheur à Djerba en Tunisie, à Punta Cana en République Dominicaine, à La Réunion, aux Seychelles et à l'île Maurice.
Visites et culture au mois de juillet : où partir ?
Où partir en juillet pour un week-end ou un long séjour culturel ? Le choix est très vaste rien qu'en Europe. C'est en effet l'une des périodes les plus agréables dans l'hémisphère nord. Si dans le bassin méditerranéen (région Provence-Alpes-Côte d'Azur, l'Espagne, l'Italie, la Croatie, la Grèce), il est possible de concilier séjour à la mer et visites touristiques, ceux qui recherchent une destination plus originale profiteront de la chaleur estivale pour monter un peu plus au nord. Dans les pays scandinaves comme la Norvège, la Suède et le Danemark, les températures sont particulièrement douces, parfaites pour découvrir quelques-unes des plus belles capitales européennes, à l'instar de Copenhague et de Stockholm.
Au mois de juillet, plusieurs pays vivent au rythme de nombreux festivals culturels ou musicaux. C'est le cas de l'Allemagne où le séjour ne se résumera pas uniquement aux festivals rock et autre bon plan. Visitez Berlin, la Bavière ou encore Munich. De l'autre côté de la Manche, le climat est tout juste correct à Londres, mais pour les amoureux de l'Angleterre, le temps est favorable pour une petite escapade à Guernesey où un grand nombre d'attractions les attend : musées, jardins luxuriants, sites historiques et écologiques, etc. En Belgique, on s'attardera surtout sur les villes qui offrent un climat favorable, telles que Bruges, Liège et Oostende.
Ceux qui ont soif de découvertes et qui souhaitent une nouvelle approche culturelle pour leurs vacances d'été privilégieront les pays encore peu connus du grand public, comme la Bulgarie. Mystérieux, énigmatique, ce pays de l'Europe de l'Est renferme pourtant de vrais trésors, dont la cité de Varna que l'on surnomme la Perle de la mer Noire. La Biélorussie réserve aussi de belles surprises dans ses destinations phares comme Minsk où il ne faut pas manquer le Musée folklorique de Dudutki.
Et la France en juillet, où partir pour un séjour entre culture et histoire ? Bonne nouvelle, le climat est favorable sur tout le territoire. Vous pouvez profiter des températures agréables en Alsace pour découvrir Strasbourg et son centre historique classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, ou encore réserver un hôtel à Vichy, en Auvergne, pour profiter des vertus de ses eaux thermales et admirer ses joyaux d'architecture, comme l'église Saint-Louis et l'opéra de Vichy.
Des vacances nature et de la randonnée en juillet
C'est une excellente saison pour faire de la randonnée, à condition de choisir une destination où la chaleur n'est pas suffocante. En France, l'idéal est de longer le littoral pour profiter de l'atmosphère marine qui est à la fois tonifiante et vivifiante. À pied, à cheval ou à vélo, la Bretagne se laisse découvrir de différentes manières. De plus, il existe des randonnées accessibles aux familles ainsi qu'aux personnes à mobilité réduite. D'autres régions offrent de très bonnes conditions climatiques pour ceux qui veulent prendre le temps d'admirer les paysages. C'est le cas des îles grecques où la douceur du climat méditerranéen est propice au trekking et aux balades à dos d'âne. Vous avez le choix entre l'île de Corfou, la Crète avec les célèbres gorges de Samaria, et l'île de Naxos.
Le Maghreb est aussi un lieu de prédilection des aventuriers dans l'âme. Partez en 4x4 dans le désert tunisien, baladez-vous à dos de dromadaire à la découverte des pyramides d'Égypte ou faites du trekking au Maroc. On n'y pense pas toujours, mais le Canada est un autre paradis des randonneurs grâce à sa nature préservée et son relief très varié. D'ailleurs, on y trouve le plus long sentier de randonnée du monde : le sentier Transcanadien. Le climat est favorable un peu partout dans le pays, sauf à Resolute. Le temps est également propice pour entreprendre un voyage aux États-Unis. Le sentier des Appalaches, le Parc national de Yosemite ainsi que celui de Bryce Canyon sont autant de sites à découvrir au cours d'une randonnée pédestre dans le pays.
L'océan Indien entre dans l'hiver austral. Le soleil est au rendez-vous, les températures sont clémentes. toutes les conditions sont réunies pour vivre un séjour sportif axé sur la randonnée sur l'île de La Réunion et à Madagascar. L'île Maurice offre également de superbes paysages et des panoramas qui se laissent facilement découvrir au cours d'une longue balade : les 7 cascades, Black River Park, etc. Et pour ceux qui veulent en avoir plein la vue, rendez-vous au Kenya où le safari et le trek peuvent s'achever par une belle journée de détente à Mombasa, au bord de la mer.
Où passer des vacances sportives en juillet ?
Envie de vacances actives au soleil, mais vous ne savez pas où partir en juillet ? Si vous avez le goût de l'aventure, choisissez des destinations lointaines comme le Kenya qui propose une longue liste d'activités à cette période de l'année : parachutisme, parapente au-dessus de la Vallée du Rift, saut à l'élastique, escalade, golf, plongée, kitesurf, safari à pied ou à vélo. sensations fortes garanties ! Toujours en Afrique, vous pouvez vous adonner à l'alpinisme et à la pêche sportive à Madagascar, faire du canyoning et du VTT à La Réunion, ou encore faire de la plongée sous-marine en Tanzanie. D'autres pays africains jouissent d'un climat favorable au mois de juillet, comme l'Afrique du Sud, la Namibie et le Mozambique.
L'Europe offre autant de possibilités. À Madère, les plaisirs balnéaires sont indéniablement au rendez-vous, avec la plongée, le surf et le bodyboard. Les adeptes de plongée et de sports nautiques seront aussi conquis par la qualité des eaux de l'île de Milos en Grèce, des Açores, des îles Baléares et des Canaries. En Croatie, la température de l'eau incite à passer de belles journées à la plage pour s'adonner à diverses activités nautiques. Et pour ceux qui préfèrent les sports terrestres, le parc de Paklenica offre de nombreux sites d'escalade. Avec la nature qui s'éveille, la France réserve également d'incroyables surprises aux vacanciers en quête d'adrénaline et de sensations fortes. En Auvergne, le climat est agréable partout, d'Aurillac à Montluçon. Randonnée, sports en eaux vives, VTT, quad. il y en a pour toutes les envies ! L'aventure vous tend aussi les bras en Midi-Pyrénées, en Aquitaine et en Corse.
Où partir en famille au mois de juillet ?
Les vacances en famille en juillet, c'est le moment de décompresser pour les enfants, et surtout de s'amuser. Dans cette optique, il convient de privilégier les destinations balnéaires, comme l'Algarve au Portugal, la Catalogne ou l'Andalousie en Espagne, ou encore l'une des nombreuses îles grecques. Leur point commun ? Vous y trouverez de superbes plages familiales où les enfants pourront se baigner en toute sécurité. Les îles Baléares comptent aussi parmi les plus belles destinations pour une escapade familiale, en particulier Majorque qui possède des zoos, des aquariums et des parcs à thèmes en plus de ses innombrables plages idylliques. Autre destination familiale par excellence, l'archipel des Canaries a beaucoup à offrir aux familles en quête de dépaysement. Méharée, sortie en bateau, parcs aquatiques, rencontre avec des animaux exotiques. la liste est longue, et les enfants bénéficient souvent d'une réduction à l'entrée des sites.
Pour certains, un voyage en famille en juillet est l'occasion de vivre une expérience inédite. Dans ce cas, il vaut mieux choisir une destination lointaine et peu connue, comme Madagascar où le séjour rimera avec aventure et découverte. La visite des parcs nationaux qui abritent un grand nombre d'espèces de caméléons et de lémuriens plaira certainement aux petits et aux grands. Et si vous envisagez d'organiser votre premier voyage en Asie, privilégiez les grandes villes qui jouissent d'un climat idéal, comme Pékin ou Tokyo.
Ceux qui préfèrent multiplier les week-ends trouveront leur bonheur un peu partout en Europe. Pourquoi ne pas faire le tour des plus belles capitales européennes ? Voilà une belle occasion d'initier les enfants à l'histoire et à la culture. Londres, Rome, Cracovie, Amsterdam, Dublin et Lisbonne vous feront voyager dans le temps à leur manière. En France, même pour un court séjour, le Puy du Fou, le Futuroscope, le Parc Astérix et Disneyland Paris demeurent des valeurs sûres, d'autant plus que le climat est favorable en juillet.
OÙ PARTIR EN 2019 : 5 DESTINATIONS OÙ VOYAGER
Où Partir En 2019 : Les Destinations Que Je Recommande !
Avant de vous parler destination par destination des choix effectués pour cette sélection de pays où partir en voyage en 2019, commençons par un récapitulatif des destinations que je recommande pour partir en 2019.
Dans cette sélection de pays où voyager au cours de l'année 2019, vous trouverez des pays / destinations variés, en Europe, en Asie ou encore en Amérique latine. Nul doute que ces destinations pourront vous plaire et vous permettre de voyager en 2019 à n'importe quel moment de l'année. Dans la suite du billet, je vous indique d'ailleurs la meilleure saison par destination.
Voici, selon moi, 5 destinations où partir en 2019 :
Laos
région du Dhofar dans le sud du Sultanat d'Oman
Yucatan au Mexique
Majorque
Qatar
Destination par destination, je vous en dis maintenant un peu plus sur mon choix de destination où partir en 2019 en voyage.
Où Voyager En 2019 : Focus Sur Ces 5 Destinations Où Partir
Sans forcément m'étaler trop longtemps sur les 5 destinations où partir en 2019, je vais partager ici le pourquoi du choix de chacun de ces pays.
Je donne ici quelques idées de choses à faire dans ces pays mais aussi les meilleurs moments de l'année pour partir voyager dans ces destinations en 2019.
Laos, Un Pays Moins Visité D'Asie Du Sud-Est
Parmi les destinations d'Asie du sud-est, le Laos est surement l'un des pays les moins visités. C'est un peu l'oublié de la région, loin derrière l'Indonésie, le Vietnam ou encore la Thaïlande.
Pourtant, le Laos est une destination qui mérite d'être visitée. Alors pourquoi partir en 2019 au Laos ? Un voyage au Laos sera bien plus authentique surtout si vous sortez des endroits les plus touristiques comme Luang Prabang ou Vang Vieng par exemple.
Visite des temples de Luang Prabang, randonnées dans le nord du Laos, balade au coeur des rizières de Vang Vieng et bien d'autres choses vous attendent au Laos. C'est clairement une destination où partir en 2019 en Asie du sud-est !
Côté saison, l'idéal est d'y aller entre novembre et mars pour éviter la saison des pluies.
Où Partir En 2019 : Dans Le Dhofar À Oman !
Le Dhofar est une région du sultanat d'Oman située au sud du pays , en bordure du Yémen. Malgré sa proximité avec le Yémen, le Dhofar est une région du pays où les conditions sécuritaires sont très bonnes. Comme dans le reste du pays d'ailleurs.
C'est pour moi clairement une région où partir en 2019 ! Je suis allé au sultanat d'Oman pour la première fois en 2014. Et le tourisme se développe assez vite dans le nord du pays.
Dans le Dhofar, il y a bien moins de touristes étrangers. C'est une destination touristique majeure du pays mais essentiellement pour les omanais (ou pour les autres pays du Golfe). Le pic touristique de la région se situe en été lors de la mousson qui touche une partie de la région. Cette saison est appelée khareef.
Le meilleur moment pour aller dans cette région d'Oman se situe selon moi dans le mois qui suit la mousson. Les paysages sont alors bien verts et vous éviterez la pluie.
Dans cette région, vous aurez l'occasion de voir de superbes wadis, des cascades, des plages magnifiques, . Le Dhofar est aussi la région d'Oman qui produit de l'encens. Un article sera bientôt publié sur le blog pour vous donner plus d'informations sur cette destination où partir en 2019.
Péninsule Du Yucatan Au Mexique : Une Destination Nature / Culture Et Farniente !
La péninsule du Yucatan est une région magnifique du Mexique. Cette région permet de profiter d'un voyage varié avec des paysages magnifiques, de nombreuses visites culturelles et du farniente sur la Riviera Maya. Le Yucatan fait partie de ces destinations variées où sur une semaine il est possible de :
visiter des sites maya comme Chichen Itza ou Uxmal
se régaler avec les spécialités mexicaines
nager avec des tortues à Akumal
profiter de la plage sur une des îles au large de la Riviera Maya ou directement sur la côte de la péninsule
s'émerveiller et se baigner dans les cénotes du Yucatan
.
Si vous vous demandez où partir en 2019 et que vous pensez aller dans le Yucatan, sachez que la meilleure saison pour partir dans le Yucatan se situe entre novembre et avril. Les mois de juillet / août sont également une bonne alternative.
Sur le blog, vous trouverez de nombreux billets pour préparer un voyage au Yucatan. Ces billets portent sur les aspects pratiques du voyage mais aussi sur les visites culturelles incontournables et sur des visites ou activités moins connues.
Où Partir En Voyage En 2019 : Majorque, La Plus Grande Île Des Baléares
Si vous vous demandez où partir en 2019 pour quelques jours en Europe, je vous recommande d'opter pour Majorque. Loin des clichés sur le tourisme de masse, une bonne partie de l'île de Majorque reste très authentique.
J'ai vraiment été surpris par Majorque. Palma de Majorque mérite une visite, le sud de l'île regroupe des criques sauvages et vraiment superbes et le nord de l'île regorge de petits villages charmants.
De plus, il y a beaucoup d'activités à faire à Majorque comme des sorties en catamaran, un vol en montgolfière au dessus de Majorque, .
Si vous voulez partir à Majorque pour profiter de la mer, l'idéal est d'y aller entre mai et septembre. Néanmoins, il reste tout à fait possible de visiter Majorque le reste de l'année pour des visites culturelles ou pour profiter des magnifiques paysages de l'île.
Qatar Pour Un Stop-Over Vers L'Asie
Le Qatar est une destination qui mérite clairement une visite. Plutôt méconnue, beaucoup de voyageurs n'y séjournent que pour une nuit et restent dans Doha.
Lors d'un vol avec Qatar Airways, il est tout à fait possible de rester plus d'une nuit au Qatar. Et c'est ce que je vous recommande. Avant d'aller en Asie ou en Océanie, prenez le temps de passer 2, 3 ou même 4 jours au Qatar.
Au delà de la visite de Doha, une visite du Qatar vous permettra de découvrir le magnifique désert au sud du pays, des villes moins connues comme Al Wakrah ou encore le magnifique fort al Zubarah au nord du pays.
L'idéal est d'éviter la période estival pour partir au Qatar car la chaleur y est écrasante. Novembre à avril sont les meilleurs mois pour aller au Qatar. En voyageant avec Qatar Airways, le stop au Qatar n'entraîne pas de surcoût au niveau du billet d'avion et il n'y a pas de visa à payer. D'excellentes raisons pour visiter le Qatar sur quelques jours avant de rejoindre sa destination finale.
Vous pouvez consulter mon billet sur le Qatar qui vous présente les choses à voir et à faire dans le pays.
J'espère que ce billet sur les destinations où partir en 2019 vous donnera quelques idées de voyage. Si l'une des destinations où voyager en 2019 vous tente, vous trouverez de nombreux billets sur le blog pour vous aider à préparer votre itinéraire et vous donner des idées de découverte.
Bien évidemment, le blog est ouvert aux commentaires ! Je réponds rapidement aux commentaires postés sur le blog. Si vous avez des questions sur les destinations où partir en 2019, n'hésitez pas à réagir à ce billet du blog en partageant un commentaire dans la zone ci-dessous.
Il ne vous reste plus qu'à faire votre choix de destination où voyager en 2019 :-)
Avant de vous parler destination par destination des choix effectués pour cette sélection de pays où partir en voyage en 2019, commençons par un récapitulatif des destinations que je recommande pour partir en 2019.
Dans cette sélection de pays où voyager au cours de l'année 2019, vous trouverez des pays / destinations variés, en Europe, en Asie ou encore en Amérique latine. Nul doute que ces destinations pourront vous plaire et vous permettre de voyager en 2019 à n'importe quel moment de l'année. Dans la suite du billet, je vous indique d'ailleurs la meilleure saison par destination.
Voici, selon moi, 5 destinations où partir en 2019 :
Laos
région du Dhofar dans le sud du Sultanat d'Oman
Yucatan au Mexique
Majorque
Qatar
Destination par destination, je vous en dis maintenant un peu plus sur mon choix de destination où partir en 2019 en voyage.
Où Voyager En 2019 : Focus Sur Ces 5 Destinations Où Partir
Sans forcément m'étaler trop longtemps sur les 5 destinations où partir en 2019, je vais partager ici le pourquoi du choix de chacun de ces pays.
Je donne ici quelques idées de choses à faire dans ces pays mais aussi les meilleurs moments de l'année pour partir voyager dans ces destinations en 2019.
Laos, Un Pays Moins Visité D'Asie Du Sud-Est
Parmi les destinations d'Asie du sud-est, le Laos est surement l'un des pays les moins visités. C'est un peu l'oublié de la région, loin derrière l'Indonésie, le Vietnam ou encore la Thaïlande.
Pourtant, le Laos est une destination qui mérite d'être visitée. Alors pourquoi partir en 2019 au Laos ? Un voyage au Laos sera bien plus authentique surtout si vous sortez des endroits les plus touristiques comme Luang Prabang ou Vang Vieng par exemple.
Visite des temples de Luang Prabang, randonnées dans le nord du Laos, balade au coeur des rizières de Vang Vieng et bien d'autres choses vous attendent au Laos. C'est clairement une destination où partir en 2019 en Asie du sud-est !
Côté saison, l'idéal est d'y aller entre novembre et mars pour éviter la saison des pluies.
Où Partir En 2019 : Dans Le Dhofar À Oman !
Le Dhofar est une région du sultanat d'Oman située au sud du pays , en bordure du Yémen. Malgré sa proximité avec le Yémen, le Dhofar est une région du pays où les conditions sécuritaires sont très bonnes. Comme dans le reste du pays d'ailleurs.
C'est pour moi clairement une région où partir en 2019 ! Je suis allé au sultanat d'Oman pour la première fois en 2014. Et le tourisme se développe assez vite dans le nord du pays.
Dans le Dhofar, il y a bien moins de touristes étrangers. C'est une destination touristique majeure du pays mais essentiellement pour les omanais (ou pour les autres pays du Golfe). Le pic touristique de la région se situe en été lors de la mousson qui touche une partie de la région. Cette saison est appelée khareef.
Le meilleur moment pour aller dans cette région d'Oman se situe selon moi dans le mois qui suit la mousson. Les paysages sont alors bien verts et vous éviterez la pluie.
Dans cette région, vous aurez l'occasion de voir de superbes wadis, des cascades, des plages magnifiques, . Le Dhofar est aussi la région d'Oman qui produit de l'encens. Un article sera bientôt publié sur le blog pour vous donner plus d'informations sur cette destination où partir en 2019.
Péninsule Du Yucatan Au Mexique : Une Destination Nature / Culture Et Farniente !
La péninsule du Yucatan est une région magnifique du Mexique. Cette région permet de profiter d'un voyage varié avec des paysages magnifiques, de nombreuses visites culturelles et du farniente sur la Riviera Maya. Le Yucatan fait partie de ces destinations variées où sur une semaine il est possible de :
visiter des sites maya comme Chichen Itza ou Uxmal
se régaler avec les spécialités mexicaines
nager avec des tortues à Akumal
profiter de la plage sur une des îles au large de la Riviera Maya ou directement sur la côte de la péninsule
s'émerveiller et se baigner dans les cénotes du Yucatan
.
Si vous vous demandez où partir en 2019 et que vous pensez aller dans le Yucatan, sachez que la meilleure saison pour partir dans le Yucatan se situe entre novembre et avril. Les mois de juillet / août sont également une bonne alternative.
Sur le blog, vous trouverez de nombreux billets pour préparer un voyage au Yucatan. Ces billets portent sur les aspects pratiques du voyage mais aussi sur les visites culturelles incontournables et sur des visites ou activités moins connues.
Où Partir En Voyage En 2019 : Majorque, La Plus Grande Île Des Baléares
Si vous vous demandez où partir en 2019 pour quelques jours en Europe, je vous recommande d'opter pour Majorque. Loin des clichés sur le tourisme de masse, une bonne partie de l'île de Majorque reste très authentique.
J'ai vraiment été surpris par Majorque. Palma de Majorque mérite une visite, le sud de l'île regroupe des criques sauvages et vraiment superbes et le nord de l'île regorge de petits villages charmants.
De plus, il y a beaucoup d'activités à faire à Majorque comme des sorties en catamaran, un vol en montgolfière au dessus de Majorque, .
Si vous voulez partir à Majorque pour profiter de la mer, l'idéal est d'y aller entre mai et septembre. Néanmoins, il reste tout à fait possible de visiter Majorque le reste de l'année pour des visites culturelles ou pour profiter des magnifiques paysages de l'île.
Qatar Pour Un Stop-Over Vers L'Asie
Le Qatar est une destination qui mérite clairement une visite. Plutôt méconnue, beaucoup de voyageurs n'y séjournent que pour une nuit et restent dans Doha.
Lors d'un vol avec Qatar Airways, il est tout à fait possible de rester plus d'une nuit au Qatar. Et c'est ce que je vous recommande. Avant d'aller en Asie ou en Océanie, prenez le temps de passer 2, 3 ou même 4 jours au Qatar.
Au delà de la visite de Doha, une visite du Qatar vous permettra de découvrir le magnifique désert au sud du pays, des villes moins connues comme Al Wakrah ou encore le magnifique fort al Zubarah au nord du pays.
L'idéal est d'éviter la période estival pour partir au Qatar car la chaleur y est écrasante. Novembre à avril sont les meilleurs mois pour aller au Qatar. En voyageant avec Qatar Airways, le stop au Qatar n'entraîne pas de surcoût au niveau du billet d'avion et il n'y a pas de visa à payer. D'excellentes raisons pour visiter le Qatar sur quelques jours avant de rejoindre sa destination finale.
Vous pouvez consulter mon billet sur le Qatar qui vous présente les choses à voir et à faire dans le pays.
J'espère que ce billet sur les destinations où partir en 2019 vous donnera quelques idées de voyage. Si l'une des destinations où voyager en 2019 vous tente, vous trouverez de nombreux billets sur le blog pour vous aider à préparer votre itinéraire et vous donner des idées de découverte.
Bien évidemment, le blog est ouvert aux commentaires ! Je réponds rapidement aux commentaires postés sur le blog. Si vous avez des questions sur les destinations où partir en 2019, n'hésitez pas à réagir à ce billet du blog en partageant un commentaire dans la zone ci-dessous.
Il ne vous reste plus qu'à faire votre choix de destination où voyager en 2019 :-)
Permis de conduire: faut-il se laisser tenter par les auto-écoles en ligne?
Jusqu'ici, c'était simple : pour passer le permis, on se tournait vers l'auto-école du quartier. Trente heures de conduite plus tard et le compte bancaire délesté de 1600 € (il s'agit de valeurs moyennes), on pouvait enfin glisser le précieux carton rose dans sa poche. Puis en 2013 sont apparus de nouveaux acteurs de la formation à la conduite, en l'occurrence des plates-formes internet qui d'une part proposent des formations au code en ligne, et de l'autre mettent en contact des aspirants conducteurs et des formateurs indépendants et non plus salariés. Il en résulte une prestation assurée à des tarifs diminués quasiment de moitié par rapport à ceux des établissements traditionnels, et avec des taux de réussite qui seraient sensiblement supérieurs à la moyenne nationale. En d'autres termes, les prix bas semblent ne pas nuire à la qualité pédagogique.
Cela revient à proposer le beurre et l'argent du beurre au million d'apprentis conducteurs dénombrés chaque année (précisément 1 026 414 inscrits au permis B en 2015), et dont une part croissante - bien qu'encore symbolique, certes - se détourne des établissements traditionnels. Sommes-nous à la veille d'une révolution du système de formation à la conduite, ou confrontés à des promesses trop belles pour être vraies ?
Une formation comme les autres ?
« 29,90 € pour passer le code de la route », « 675 € pour le forfait code + 20 heures de conduite », « taux de réussite nettement supérieur à la moyenne nationale », « formations flexibles », « moins de trois mois pour obtenir votre permis », etc. : le moins que l'on puisse dire est que les auto-écoles « en ligne » ne manquent pas d'arguments. Les témoignages d'utilisateurs satisfaits fourmillent d'ailleurs sur Facebook, les forums Internet ainsi que sur les sites regroupant des avis de clients, tandis que ceux des mécontents y demeurent marginaux (exemples ici). Un état des lieux plutôt positif, donc, pour ces organismes qui n'existaient pas il y a cinq ans et qui ont pris leur essor à la faveur de la mise en œuvre de la loi Macron de 2015, laquelle s'intéresse entre autres au permis de conduire.
Concrètement, ces « auto-écoles par Internet » proposent des formations au code de la route à distance, pour s'entraîner de chez soi avec une tablette ou un ordinateur, ainsi que des heures de conduites délivrées par des moniteurs indépendants, tous titulaires du Bepecaser, diplôme dont la réalité est censée être vérifiée par les organismes. Les prises de rendez-vous se font par Internet, l'enseignant se présentant à l'heure et à l'endroit dits avec une voiture à l'équipement ad hoc (doubles commandes, doubles rétroviseurs, etc.) et dont il est propriétaire ou locataire, après quoi démarre une séance de cours tout ce qu'il y a de classique.
Evaluation réciproque
Pour l'élève, le processus d'apprentissage sera donc identique à celui d'une auto-école normale. Pour le moniteur aussi, si ce n'est que lui aussi est évalué par l'élève, qui peut donner des commentaires à son sujet ou, si l'entente n'est pas bonne, en changer (du moins si un autre moniteur indépendant exerce dans le secteur).
En fin de processus, après avoir constitué lui-même son dossier d'inscription et adressé celui-ci à la préfecture, l'élève se présente à l'épreuve de conduite en candidat libre (1495 permis B ainsi délivrés en 2015, avec un taux de réussite de 54,56%). Ce qui, du point de vue des inspecteurs, ne change rien : « nous, à la base, on n'a rien contre ces plates-formes », explique à Caradisiac Laurent Deville, secrétaire général adjoint du Syndicat national Force Ouvrière des inspecteurs (SNICA-FO) ultra-majoritaire. « Les aspirants conducteurs qui en sortent appartiennent à la catégorie des candidats libres, ce sont des usagers comme les autres que l'on juge uniquement sur leurs compétences. » Les statistiques semblent lui donner raison : Ornikar, leader du secteur, annonce ainsi un taux de réussite de 76% (chiffre identique pour En voiture Simone, d'ailleurs) , supérieur à la moyenne nationale qui s'établit à 60%. Par quel miracle est-ce possible ? « Les parents ont encore du mal à faire confiance aux plates-formes Internet, et du coup continuent d'orienter leurs enfants de 18-20 ans dans les écoles traditionnelles », commente Benjamin Gaignault, patron d'Ornikar, qui annonce un total de plus de 46 000 inscrits depuis sa création en décembre 2013 avec l'ambition de réduire de moitié le coût du permis. « La moyenne d'âge de nos clients est de 25 ans, c'est-à-dire des gens à la maturité supérieure et qui le plus souvent s'autofinancent. Ce sont donc des élèves plus appliqués, ce qui se ressent sur les résultats. »
Elèves en carafe
La question de la confiance que l'on peut accorder à ces plates-formes est légitime. Le 5 avril dernier, le tribunal de commerce de Lyon plaçait en redressement judiciaire Permigo, start-up créée en 2014, qui pourrait compter, selon Les Echos, quelques 8 000 élèves en formation. On devrait connaître l'identité d'un éventuel repreneur le 9 mai pour cette société qui se vantait d'être la seule plate-forme disposant de locaux « en dur » et de disposer de moniteurs salariés. « Franchement, on se demandait bien comment leur modèle économique fonctionnait », comment Benjamin Gaignault. « Je les ai longtemps pris pour des magiciens, mais maintenant je comprends mieux : ils ne pouvaient pas proposer des tarifs aussi bas en s'imposant des charges aussi lourdes. Ce n'était simplement pas viable. » Les faits semblent donner raison au jeune homme.
Uberisation vs. sclérose
Quelle que soit l'issue de l'affaire, elle contribue à nourrir la défiance vis-à-vis de l'« uberisation » du métier que dénoncent certaines auto-écoles classiques. A l'appel de l'intersyndicale CNPA-Unidec, quelques centaines de voitures d'auto-écoles ont organisé des opérations escargot le 18 avril dernier dans plusieurs grandes villes afin de protester contre la dématérialisation des procédures contenue dans le plan « Préfectures nouvelle génération » qui, selon elles « va favoriser les plates-formes en ligne au détriment de l'Éducation Routière agréée ». Il est plus précisément question de l'inscription au permis de conduire, que les auto-écoles facturaient jusqu'ici aux élèves.
Mais le contentieux porte plus loin, selon Patrice Bessone, Président du CNPA Education routière (qui annonce représenter 11 000 auto-écoles): « les plates-formes Internet évoluent en marge de la réglementation. Pour enseigner à titre onéreux, il faut un agrément préfectoral, que l'on n'obtient que si on dispose d'un local et que l'on emploie des enseignants agréés. Les plates-formes se mettent hors-la-loi en faisant travailler des formateurs dont on n'a même pas la certitude qu'ils sont diplômés, et on ne sait rien des équipes pédagogiques. Il faut reclasser en travail illégal toutes les personnes qui emploient des indépendants. A force de chercher du low-cost partout, il y a de très mauvais jours qui se préparent en matière de sécurité routière ! »
Nouvelle donne
La charge est lourde, mais ne déstabilise pas Benjamin Gaignault (Ornikar). « De toute façon, les auto-écoles font elles-mêmes appel à des indépendants quand elles sont en période de rush ! Quant aux syndicats de la profession, ils n'hésitent pas à inventer certains textes de loi quand cela sert leur propos. Et vous vous doutez bien qu'avec toutes les délations dont on a pu être l'objet ces dernières années, on aurait fermé nos portes depuis longtemps si une fraude avait été avérée ! » La Sécurité routière, contactée par nos soins, préfère botter en touche : « à partir du moment où les plates-formes d'auto-écoles par Internet reçoivent l'agrément préfectoral, on n'a pas grand-chose à en dire. »
Dans un communiqué, l'auto-école en ligne agréée En voiture Simone s'élève quant à elle contre les amalgames : « Il ne s'agit pas d'uberisation, loin de là. Le secteur de l'auto-école a un retard dans le numérique qui est considérable. Les procédures administratives qui y étaient associées n'ont pas évolué depuis des dizaines d'années. Le gouvernement a simplement fait en sorte qu'elles correspondent aux outils d'aujourd'hui et aux usages des personnes qui passent le permis de conduire. »
Là réside en effet le nœud du problème pour des auto-écoles « à l'ancienne », qui se battent depuis des années dans un environnement sclérosé, entre pénurie de places d'examen (phénomène qui s'est d'ailleurs nettement atténué) et charges élevées. Les plates-formes Internet, dont on rappelle qu'elles ne représentent aujourd'hui qu'une petite partie du marché de l'apprentissage de la conduite (même si un Ornikar revendique actuellement un vivier de 100 moniteurs en activité pour 2000 élèves inscrits chaque mois, dont 1 600 aux épreuves théoriques, ce qui en fait la plus grande auto-école de France), ne feraient qu'accélérer le bouleversement d'un système aujourd'hui dépassé. Avec, du côté des professionnels concernés, une amertume parfaitement légitime.
Le bilan : Carton rosse
- Tarif: (net) avantage plates-formes Internet
- Facilité d'organisation: égalité
- Qualité de la formation: avantage auto-écoles, notamment parce qu'on sait mieux à qui on a affaire.
- Taux de réussite (examen théorique et pratique): (léger) avantage plates-formes Internet
Les plates-formes d'auto-écoles n'occupent encore qu'une part infime du marché de l'apprentissage de la conduite : alors que 847 123 permis B ont été délivrés en 2015 (derniers chiffres disponibles) dans le cadre de la filière classique, seuls 1 495 l'ont été à des candidats libres (et on ignore quelle part de ces 1 495 a eu recours aux plates-formes en ligne), soit un pourcentage de 0,176%. On pourrait donc penser que les auto-écoles s'inquiètent pour bien peu de choses. Pour autant, avec leurs tarifs ajustés et une crédibilité qui semble de plus en plus reconnue, les plates-formes devraient se développer rapidement dans les années qui viennent. Comme pour les taxis et les VTC, il va falloir que tout le monde apprenne à cohabiter, avec pour les auto-écoles la nécessité de mettre encore plus l'accent sur les qualités pédagogiques (donner de "vrais" cours de code, notamment) et de cultiver leur ancrage local. Sinon quoi leur déclin s'annonce inexorable.
Cela revient à proposer le beurre et l'argent du beurre au million d'apprentis conducteurs dénombrés chaque année (précisément 1 026 414 inscrits au permis B en 2015), et dont une part croissante - bien qu'encore symbolique, certes - se détourne des établissements traditionnels. Sommes-nous à la veille d'une révolution du système de formation à la conduite, ou confrontés à des promesses trop belles pour être vraies ?
Une formation comme les autres ?
« 29,90 € pour passer le code de la route », « 675 € pour le forfait code + 20 heures de conduite », « taux de réussite nettement supérieur à la moyenne nationale », « formations flexibles », « moins de trois mois pour obtenir votre permis », etc. : le moins que l'on puisse dire est que les auto-écoles « en ligne » ne manquent pas d'arguments. Les témoignages d'utilisateurs satisfaits fourmillent d'ailleurs sur Facebook, les forums Internet ainsi que sur les sites regroupant des avis de clients, tandis que ceux des mécontents y demeurent marginaux (exemples ici). Un état des lieux plutôt positif, donc, pour ces organismes qui n'existaient pas il y a cinq ans et qui ont pris leur essor à la faveur de la mise en œuvre de la loi Macron de 2015, laquelle s'intéresse entre autres au permis de conduire.
Concrètement, ces « auto-écoles par Internet » proposent des formations au code de la route à distance, pour s'entraîner de chez soi avec une tablette ou un ordinateur, ainsi que des heures de conduites délivrées par des moniteurs indépendants, tous titulaires du Bepecaser, diplôme dont la réalité est censée être vérifiée par les organismes. Les prises de rendez-vous se font par Internet, l'enseignant se présentant à l'heure et à l'endroit dits avec une voiture à l'équipement ad hoc (doubles commandes, doubles rétroviseurs, etc.) et dont il est propriétaire ou locataire, après quoi démarre une séance de cours tout ce qu'il y a de classique.
Evaluation réciproque
Pour l'élève, le processus d'apprentissage sera donc identique à celui d'une auto-école normale. Pour le moniteur aussi, si ce n'est que lui aussi est évalué par l'élève, qui peut donner des commentaires à son sujet ou, si l'entente n'est pas bonne, en changer (du moins si un autre moniteur indépendant exerce dans le secteur).
En fin de processus, après avoir constitué lui-même son dossier d'inscription et adressé celui-ci à la préfecture, l'élève se présente à l'épreuve de conduite en candidat libre (1495 permis B ainsi délivrés en 2015, avec un taux de réussite de 54,56%). Ce qui, du point de vue des inspecteurs, ne change rien : « nous, à la base, on n'a rien contre ces plates-formes », explique à Caradisiac Laurent Deville, secrétaire général adjoint du Syndicat national Force Ouvrière des inspecteurs (SNICA-FO) ultra-majoritaire. « Les aspirants conducteurs qui en sortent appartiennent à la catégorie des candidats libres, ce sont des usagers comme les autres que l'on juge uniquement sur leurs compétences. » Les statistiques semblent lui donner raison : Ornikar, leader du secteur, annonce ainsi un taux de réussite de 76% (chiffre identique pour En voiture Simone, d'ailleurs) , supérieur à la moyenne nationale qui s'établit à 60%. Par quel miracle est-ce possible ? « Les parents ont encore du mal à faire confiance aux plates-formes Internet, et du coup continuent d'orienter leurs enfants de 18-20 ans dans les écoles traditionnelles », commente Benjamin Gaignault, patron d'Ornikar, qui annonce un total de plus de 46 000 inscrits depuis sa création en décembre 2013 avec l'ambition de réduire de moitié le coût du permis. « La moyenne d'âge de nos clients est de 25 ans, c'est-à-dire des gens à la maturité supérieure et qui le plus souvent s'autofinancent. Ce sont donc des élèves plus appliqués, ce qui se ressent sur les résultats. »
Elèves en carafe
La question de la confiance que l'on peut accorder à ces plates-formes est légitime. Le 5 avril dernier, le tribunal de commerce de Lyon plaçait en redressement judiciaire Permigo, start-up créée en 2014, qui pourrait compter, selon Les Echos, quelques 8 000 élèves en formation. On devrait connaître l'identité d'un éventuel repreneur le 9 mai pour cette société qui se vantait d'être la seule plate-forme disposant de locaux « en dur » et de disposer de moniteurs salariés. « Franchement, on se demandait bien comment leur modèle économique fonctionnait », comment Benjamin Gaignault. « Je les ai longtemps pris pour des magiciens, mais maintenant je comprends mieux : ils ne pouvaient pas proposer des tarifs aussi bas en s'imposant des charges aussi lourdes. Ce n'était simplement pas viable. » Les faits semblent donner raison au jeune homme.
Uberisation vs. sclérose
Quelle que soit l'issue de l'affaire, elle contribue à nourrir la défiance vis-à-vis de l'« uberisation » du métier que dénoncent certaines auto-écoles classiques. A l'appel de l'intersyndicale CNPA-Unidec, quelques centaines de voitures d'auto-écoles ont organisé des opérations escargot le 18 avril dernier dans plusieurs grandes villes afin de protester contre la dématérialisation des procédures contenue dans le plan « Préfectures nouvelle génération » qui, selon elles « va favoriser les plates-formes en ligne au détriment de l'Éducation Routière agréée ». Il est plus précisément question de l'inscription au permis de conduire, que les auto-écoles facturaient jusqu'ici aux élèves.
Mais le contentieux porte plus loin, selon Patrice Bessone, Président du CNPA Education routière (qui annonce représenter 11 000 auto-écoles): « les plates-formes Internet évoluent en marge de la réglementation. Pour enseigner à titre onéreux, il faut un agrément préfectoral, que l'on n'obtient que si on dispose d'un local et que l'on emploie des enseignants agréés. Les plates-formes se mettent hors-la-loi en faisant travailler des formateurs dont on n'a même pas la certitude qu'ils sont diplômés, et on ne sait rien des équipes pédagogiques. Il faut reclasser en travail illégal toutes les personnes qui emploient des indépendants. A force de chercher du low-cost partout, il y a de très mauvais jours qui se préparent en matière de sécurité routière ! »
Nouvelle donne
La charge est lourde, mais ne déstabilise pas Benjamin Gaignault (Ornikar). « De toute façon, les auto-écoles font elles-mêmes appel à des indépendants quand elles sont en période de rush ! Quant aux syndicats de la profession, ils n'hésitent pas à inventer certains textes de loi quand cela sert leur propos. Et vous vous doutez bien qu'avec toutes les délations dont on a pu être l'objet ces dernières années, on aurait fermé nos portes depuis longtemps si une fraude avait été avérée ! » La Sécurité routière, contactée par nos soins, préfère botter en touche : « à partir du moment où les plates-formes d'auto-écoles par Internet reçoivent l'agrément préfectoral, on n'a pas grand-chose à en dire. »
Dans un communiqué, l'auto-école en ligne agréée En voiture Simone s'élève quant à elle contre les amalgames : « Il ne s'agit pas d'uberisation, loin de là. Le secteur de l'auto-école a un retard dans le numérique qui est considérable. Les procédures administratives qui y étaient associées n'ont pas évolué depuis des dizaines d'années. Le gouvernement a simplement fait en sorte qu'elles correspondent aux outils d'aujourd'hui et aux usages des personnes qui passent le permis de conduire. »
Là réside en effet le nœud du problème pour des auto-écoles « à l'ancienne », qui se battent depuis des années dans un environnement sclérosé, entre pénurie de places d'examen (phénomène qui s'est d'ailleurs nettement atténué) et charges élevées. Les plates-formes Internet, dont on rappelle qu'elles ne représentent aujourd'hui qu'une petite partie du marché de l'apprentissage de la conduite (même si un Ornikar revendique actuellement un vivier de 100 moniteurs en activité pour 2000 élèves inscrits chaque mois, dont 1 600 aux épreuves théoriques, ce qui en fait la plus grande auto-école de France), ne feraient qu'accélérer le bouleversement d'un système aujourd'hui dépassé. Avec, du côté des professionnels concernés, une amertume parfaitement légitime.
Le bilan : Carton rosse
- Tarif: (net) avantage plates-formes Internet
- Facilité d'organisation: égalité
- Qualité de la formation: avantage auto-écoles, notamment parce qu'on sait mieux à qui on a affaire.
- Taux de réussite (examen théorique et pratique): (léger) avantage plates-formes Internet
Les plates-formes d'auto-écoles n'occupent encore qu'une part infime du marché de l'apprentissage de la conduite : alors que 847 123 permis B ont été délivrés en 2015 (derniers chiffres disponibles) dans le cadre de la filière classique, seuls 1 495 l'ont été à des candidats libres (et on ignore quelle part de ces 1 495 a eu recours aux plates-formes en ligne), soit un pourcentage de 0,176%. On pourrait donc penser que les auto-écoles s'inquiètent pour bien peu de choses. Pour autant, avec leurs tarifs ajustés et une crédibilité qui semble de plus en plus reconnue, les plates-formes devraient se développer rapidement dans les années qui viennent. Comme pour les taxis et les VTC, il va falloir que tout le monde apprenne à cohabiter, avec pour les auto-écoles la nécessité de mettre encore plus l'accent sur les qualités pédagogiques (donner de "vrais" cours de code, notamment) et de cultiver leur ancrage local. Sinon quoi leur déclin s'annonce inexorable.
Echapper au nouveau permis de conduire: c'est possible!
Le Certificat d'aptitude permet de rouler sans guide avant de présenter l'examen pratique. Il faut réussir l'épreuve dans un centre d'examen, sauf si on n'a pas peur de faire quelques kilomètres de plus et d'achever sa formation dans une auto-école à Bruxelles ou en Flandre. Subtilité de la Belgique régionalisée.
Le permis à Bruxelles: ce qui change ce 1er novembre 2018
La formation aux premiers secours, dispensée par la Croix-Rouge, vise à préparer les futurs automobilistes "à une prise en charge adéquate des victimes d'un accident avant l'arrivée des secours, la première heure étant considérée comme déterminante pour les séquelles ou les chances de survie", précise Bianca Debaets, secrétaire d'État bruxelloise à la Sécurité routière.
La préparation au permis de conduire dans la Région de Bruxelles-Capitale comportera désormais deux volets: une partie théorique transmise de façon électronique, qui peut être suivie à domicile, ainsi qu'un volet pratique de trois heures, dispensé par groupes de 20 maximum.
Après réussite de cet examen théorique, les candidats peuvent choisir entre quatre filières (filière mixte libre/auto-école, accès direct à l'examen après 30 heures d'auto-école, filière libre et filière auto-école).
A côté de la formation aux premiers secours, un test de perception des risques devient aussi obligatoire pour réussir le permis pratique. Le candidat devra notamment identifier les dangers potentiels se présentant dans certaines situations.
La préparation au permis de conduire dans la Région de Bruxelles-Capitale comportera désormais deux volets: une partie théorique transmise de façon électronique, qui peut être suivie à domicile, ainsi qu'un volet pratique de trois heures, dispensé par groupes de 20 maximum.
Après réussite de cet examen théorique, les candidats peuvent choisir entre quatre filières (filière mixte libre/auto-école, accès direct à l'examen après 30 heures d'auto-école, filière libre et filière auto-école).
A côté de la formation aux premiers secours, un test de perception des risques devient aussi obligatoire pour réussir le permis pratique. Le candidat devra notamment identifier les dangers potentiels se présentant dans certaines situations.
Tuesday, 19 February 2019
Le titre de séjour permanent
Vous vivez déjà en Allemagne grâce à une autorisation de séjour d'une durée limitée et vous souhaiteriez y rester durablement? Aucun problème! Après un séjour de plusieurs années en Allemagne, vous pouvez obtenir, à votre demande, un titre de séjour à durée illimitée, appelé « Niederlassungserlaubnis ». Ce titre de séjour permanent vous ouvre de nombreuses perspectives. Vous pouvez vivre en Allemagne avec votre famille, sans restriction. Vous pouvez y être salarié, mais aussi exercer une activité indépendante.
Conditions générales
Les citoyennes et citoyens des États non membres de l'UE ou de l'EEE peuvent demander un titre de séjour permanent s'ils remplissent les conditions suivantes :
Vous êtes titulaire d'une autorisation de séjour depuis 5 ans.
Vous subvenez à vos besoins sans percevoir d'aide publique.
Vous avez cotisé, pendant au moins 60 mois, au régime de retraite obligatoire, sous forme de cotisations obligatoires ou volontaires.
Vous êtes autorisé à exercer une activité et détenez les autorisations nécessaires.
Vous disposez d'une connaissance suffisante de la langue allemande ainsi que de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne
Votre logement est suffisamment grand pour vous et les membres de votre famille.
Si vous remplissez les conditions précitées, prenez rendez-vous auprès du service des étrangers (Ausländerbehörde) dont vous dépendez pour déposer votre demande de Titre de séjour permanent. Le service des étrangers pourra également vous indiquer précisément quels sont les documents à fournir.
Vous ne remplissez pas toutes les conditions ? Pas de panique ! Dans certains cas, vous pouvez également obtenir le titre de séjour permanent sous des conditions simplifiées. Vous êtes concerné si vous faites partie d'un des groupes suivants :
Titulaires d'une carte bleue européenne
Diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands
Personnes hautement qualifiées
Travailleurs indépendants
Titulaires d'une carte bleue européenne
Si vous avez une carte bleue européenne, vous pouvez obtenir un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) sur demande. Pour cela, vous devez:
avoir exercé depuis au moins 33 mois un emploi qualifié avec des contributions au régime obligatoire d'assurance retraite et
avoir des connaissances de base de la langue allemande (niveau A1). Si vous avez des connaissances de l'allemand au niveau B1, ce délai se raccourci de 33 à 21 mois.
En outre, les titulaires de la carte bleue européenne doivent prouver qu'ils disposent d'un logement suffisamment grand et de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne (par le test "Vivre en Allemagne"). En règle générale, ce test n'est pas obligatoire, mais il est souvent requis par l'Office des étrangers.
Vous trouverez la liste des documents nécessaires à la délivrance d'un titre de séjour permanent aux titulaires d'une carte bleue européenne en cliquant ici.
Diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands
En tant que diplômé d'un établissement d'enseignement supérieur allemand, vous pouvez demander un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) au bout de deux ans. Vous devez pour cela avoir été titulaire, après vos études et pendant au moins deux ans, d'un titre de séjour pour l'exercice d'une activité salariée ou indépendante ou d'une carte bleue européenne. Vous devez en outre occuper un emploi correspondant à vos qualifications et avoir cotisé pendant au moins 24 mois à l'assurance retraite obligatoire.
Vous trouverez les documents nécessaires à la délivrance d'un titre de séjour permanent aux diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands en cliquant ici.
Personnes hautement qualifiées
Les immigrés hautement qualifiés peuvent obtenir dès le début de leur séjour un titre de séjour permanent, car aucune durée minimale de séjour n'est exigée. Si vous faites partie du groupe des scientifiques dotés de connaissances techniques spécifiques, du personnel enseignant ou du personnel scientifique occupant des fonctions particulières, vous pouvez demander un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) dès votre arrivée en Allemagne. Vous devez impérativement présenter une promesse d'embauche.
Nous vous conseillons de rassembler, avant votre arrivée, tous les documents nécessaires à la délivrance immédiate d'un Titre de séjour permanent.
Travailleurs indépendants
Si vous exercez une activité indépendante en Allemagne, vous pouvez aussi bénéficier de conditions simplifiées pour obtenir un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis). Vous pouvez l'obtenir au bout de trois ans seulement, à condition d'être, au moment de la demande, titulaire d'un titre de séjour valide pour l'exercice d'une activité indépendante (Aufenthaltstitel zur Ausübung einer selbstständigen Tätigkeit). Vous devez en outre avoir concrétisé avec succès votre projet d'Activité indépendante. Si vous pouvez aussi prouver que vous êtes en mesure de subvenir à vos besoins en Allemagne de manière durable, rien ne s'oppose à ce que vous obteniez votre titre de séjour permanent.
Découvrez en détail les documents que les travailleurs indépendants doivent joindre à leur demande de titre de séjour permanent en cliquant ici.
Frais
Le montant des frais liés à la demande de titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) varie en fonction du type d'activité. Il s'élève à 135 euros en général, à 200 euros pour les travailleurs indépendants et à 250 euros pour les travailleurs hautement qualifiés.
Titre de séjour permanent pour l'Union européenne
Le titre de séjour permanent pour l'Union européenne (§9ªAufenthG) est un permis de séjour permanent, qui est similaire en principe à un titre de séjour permanent (en Allemagne). Toute personne disposant de ce titre de séjour peut voyager dans presque tous les pays de l'Union européenne à des conditions simplifiées et obtenir un droit de séjour.
Vous pouvez obtenir un titre de séjour permanent pour l'Union européenne si vous remplissez les conditions suivantes:
Vous avez vécu en Allemagne pendant au moins cinq ans.
Vous subvenez à vos besoins et à ceux de votre famille
Vous disposez d'une connaissance suffisante de la langue allemande ainsi que de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne
Votre logement est suffisamment grand pour vous et les membres de votre famille.
Vous avez cotisé en raison de votre emploi, pendant au moins 60 mois, au régime de retraite obligatoire, sous forme de cotisations obligatoires ou volontaires.
Toutefois, pour les titulaires de certains titres de séjour comme par exemple un titre de séjour pour des raisons humanitaires ou à des fins de formation, l'octroi d'un titre de séjour permanent pour l'Union européenne est exclu.
Conditions générales
Les citoyennes et citoyens des États non membres de l'UE ou de l'EEE peuvent demander un titre de séjour permanent s'ils remplissent les conditions suivantes :
Vous êtes titulaire d'une autorisation de séjour depuis 5 ans.
Vous subvenez à vos besoins sans percevoir d'aide publique.
Vous avez cotisé, pendant au moins 60 mois, au régime de retraite obligatoire, sous forme de cotisations obligatoires ou volontaires.
Vous êtes autorisé à exercer une activité et détenez les autorisations nécessaires.
Vous disposez d'une connaissance suffisante de la langue allemande ainsi que de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne
Votre logement est suffisamment grand pour vous et les membres de votre famille.
Si vous remplissez les conditions précitées, prenez rendez-vous auprès du service des étrangers (Ausländerbehörde) dont vous dépendez pour déposer votre demande de Titre de séjour permanent. Le service des étrangers pourra également vous indiquer précisément quels sont les documents à fournir.
Vous ne remplissez pas toutes les conditions ? Pas de panique ! Dans certains cas, vous pouvez également obtenir le titre de séjour permanent sous des conditions simplifiées. Vous êtes concerné si vous faites partie d'un des groupes suivants :
Titulaires d'une carte bleue européenne
Diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands
Personnes hautement qualifiées
Travailleurs indépendants
Titulaires d'une carte bleue européenne
Si vous avez une carte bleue européenne, vous pouvez obtenir un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) sur demande. Pour cela, vous devez:
avoir exercé depuis au moins 33 mois un emploi qualifié avec des contributions au régime obligatoire d'assurance retraite et
avoir des connaissances de base de la langue allemande (niveau A1). Si vous avez des connaissances de l'allemand au niveau B1, ce délai se raccourci de 33 à 21 mois.
En outre, les titulaires de la carte bleue européenne doivent prouver qu'ils disposent d'un logement suffisamment grand et de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne (par le test "Vivre en Allemagne"). En règle générale, ce test n'est pas obligatoire, mais il est souvent requis par l'Office des étrangers.
Vous trouverez la liste des documents nécessaires à la délivrance d'un titre de séjour permanent aux titulaires d'une carte bleue européenne en cliquant ici.
Diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands
En tant que diplômé d'un établissement d'enseignement supérieur allemand, vous pouvez demander un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) au bout de deux ans. Vous devez pour cela avoir été titulaire, après vos études et pendant au moins deux ans, d'un titre de séjour pour l'exercice d'une activité salariée ou indépendante ou d'une carte bleue européenne. Vous devez en outre occuper un emploi correspondant à vos qualifications et avoir cotisé pendant au moins 24 mois à l'assurance retraite obligatoire.
Vous trouverez les documents nécessaires à la délivrance d'un titre de séjour permanent aux diplômés des établissements d'enseignement supérieur allemands en cliquant ici.
Personnes hautement qualifiées
Les immigrés hautement qualifiés peuvent obtenir dès le début de leur séjour un titre de séjour permanent, car aucune durée minimale de séjour n'est exigée. Si vous faites partie du groupe des scientifiques dotés de connaissances techniques spécifiques, du personnel enseignant ou du personnel scientifique occupant des fonctions particulières, vous pouvez demander un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) dès votre arrivée en Allemagne. Vous devez impérativement présenter une promesse d'embauche.
Nous vous conseillons de rassembler, avant votre arrivée, tous les documents nécessaires à la délivrance immédiate d'un Titre de séjour permanent.
Travailleurs indépendants
Si vous exercez une activité indépendante en Allemagne, vous pouvez aussi bénéficier de conditions simplifiées pour obtenir un titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis). Vous pouvez l'obtenir au bout de trois ans seulement, à condition d'être, au moment de la demande, titulaire d'un titre de séjour valide pour l'exercice d'une activité indépendante (Aufenthaltstitel zur Ausübung einer selbstständigen Tätigkeit). Vous devez en outre avoir concrétisé avec succès votre projet d'Activité indépendante. Si vous pouvez aussi prouver que vous êtes en mesure de subvenir à vos besoins en Allemagne de manière durable, rien ne s'oppose à ce que vous obteniez votre titre de séjour permanent.
Découvrez en détail les documents que les travailleurs indépendants doivent joindre à leur demande de titre de séjour permanent en cliquant ici.
Frais
Le montant des frais liés à la demande de titre de séjour permanent (Niederlassungserlaubnis) varie en fonction du type d'activité. Il s'élève à 135 euros en général, à 200 euros pour les travailleurs indépendants et à 250 euros pour les travailleurs hautement qualifiés.
Titre de séjour permanent pour l'Union européenne
Le titre de séjour permanent pour l'Union européenne (§9ªAufenthG) est un permis de séjour permanent, qui est similaire en principe à un titre de séjour permanent (en Allemagne). Toute personne disposant de ce titre de séjour peut voyager dans presque tous les pays de l'Union européenne à des conditions simplifiées et obtenir un droit de séjour.
Vous pouvez obtenir un titre de séjour permanent pour l'Union européenne si vous remplissez les conditions suivantes:
Vous avez vécu en Allemagne pendant au moins cinq ans.
Vous subvenez à vos besoins et à ceux de votre famille
Vous disposez d'une connaissance suffisante de la langue allemande ainsi que de connaissances de base en matière de législation, d'ordre social et de conditions de vie en Allemagne
Votre logement est suffisamment grand pour vous et les membres de votre famille.
Vous avez cotisé en raison de votre emploi, pendant au moins 60 mois, au régime de retraite obligatoire, sous forme de cotisations obligatoires ou volontaires.
Toutefois, pour les titulaires de certains titres de séjour comme par exemple un titre de séjour pour des raisons humanitaires ou à des fins de formation, l'octroi d'un titre de séjour permanent pour l'Union européenne est exclu.
Conduite : quels pays européens pratiquent des contrôles obligatoires pour les seniors ?
En France, aucun contrôle médical n'est imposé lors de l'obtention du permis de conduire. Seule exception : si un conducteur peut mettre en danger la vie d'autrui, sa famille ou son tuteur peut saisir le préfet d'une demande de contrôle médical.
Pas de contrôle en Allemagne, Belgique et Pologne
En Europe, plusieurs pays imposent des examens obligatoires. "Aux Pays-Bas, à partir de 75 ans, l'automobiliste a l'obligation de passer un examen médical tous les cinq ans. Au Danemark et en Finlande, c'est 70 ans, et 65 ans en Espagne avec un rappel tous les cinq ans", rapporte la journaliste Nabila Tabouri sur le plateau du 13 Heures. L'Italie et le Portugal sont les deux pays européens à appliquer la réglementation la plus stricte : le contrôle est obligatoire dès 50 ans.
Tout comme la France, l'Allemagne, la Belgique et la Pologne ne pratiquent aucun contrôle des seniors. "Au Royaume-Uni, c'est le conducteur qui doit lui-même déclarer s'il considère être en bonne santé tous les trois ans", conclut Nabila Tabouri.
Pas de contrôle en Allemagne, Belgique et Pologne
En Europe, plusieurs pays imposent des examens obligatoires. "Aux Pays-Bas, à partir de 75 ans, l'automobiliste a l'obligation de passer un examen médical tous les cinq ans. Au Danemark et en Finlande, c'est 70 ans, et 65 ans en Espagne avec un rappel tous les cinq ans", rapporte la journaliste Nabila Tabouri sur le plateau du 13 Heures. L'Italie et le Portugal sont les deux pays européens à appliquer la réglementation la plus stricte : le contrôle est obligatoire dès 50 ans.
Tout comme la France, l'Allemagne, la Belgique et la Pologne ne pratiquent aucun contrôle des seniors. "Au Royaume-Uni, c'est le conducteur qui doit lui-même déclarer s'il considère être en bonne santé tous les trois ans", conclut Nabila Tabouri.
Nouveaux débouchés pour les marchands de passeports
De nouveaux pays apparaissent sur la carte du commerce lucratif de la vente de passeports. La société Henley & Partners, qui se présente comme le leader mondial de «la migration par l'investissement», a annoncé vendredi avoir conclu un accord avec le Monténégro, petit pays des Balkans de 600 000 habitants qui frappe à la porte de l'Union européenne (UE).
L'achat d'une «citoyenneté par l'investissement», selon le jargon des cabinets actifs sur ce marché, n'est pas à la portée du premier venu. Il faudra débourser 250 000 euros pour s'offrir un passeport monténégrin. En plus, les autorités de Podgorica prélèveront 100 000 euros par demande, des sommes qui serviront au développement des régions défavorisées du pays, selon Henley & Partners. «Il s'agit d'un échange mutuellement bénéfique.» La société, qui dispose de 30 bureaux à travers le monde, dont un à Genève et un à Zurich, fait ainsi un effort de transparence, alors que le secteur longtemps très discret est de plus en plus critiqué.
Offre limitée
La vente de passeports monténégrins ne sera valable que trois ans à partir du mois d'octobre et sera limitée à 2000 demandeurs, peut-on encore lire dans le communiqué de presse transmis par Henley & Partners. Le programme avec la Moldavie n'est pas aussi avancé. En effet, la société vient de recevoir le mandat de développer un dispositif similaire de la part de la république de 3 millions d'habitants coincée entre la Roumanie et l'Ukraine.
Lire aussi: «Christian Kälin, l'avocat qui vend des passeports»
Le passeport monténégrin sera un peu plus cher que celui de pays des Caraïbes comme Grenade, Antigua-et-Barbuda ou Sainte-Lucie. Ces micro-Etats ont été les premiers à baser leur développement sur la domiciliation réelle ou sur le papier de super-riches. Pour cette clientèle, le passeport monténégrin présente à première vue un bon rapport qualité-prix. En effet, Henley & Partners fait valoir qu'il permet d'accéder à 123 pays. La société a établi un index des nationalités qui permettent de franchir le plus grand nombre de frontières.
Capitaux considérables
Le Monténégro figure en 42e position dans ce classement dominé par les pays européens, Singapour ou le Japon alors que l'Irak et l'Afghanistan sont en dernière place. Henley & Partners assure que le passeport monténégrin permettra d'accéder à l'espace Schengen - qui comprend la Suisse - même si le Monténégro n'en fait pas partie.
En Europe, Malte et Chypre ont été les premiers à imiter les Caraïbes. Les deux îles méditerranéennes ont attiré des capitaux considérables en vendant leur nationalité. D'autres pays du continent ne sont pas en reste, comme le Portugal. Cette pratique n'a en soi rien d'illégal. Car chaque Etat est libre de délivrer un passeport à qui bon lui semble. Mais, comme Malte fait partie de l'UE et que son passeport ouvre la porte aux autres pays de l'Union, Bruxelles commence à s'inquiéter.
Mauvaise publicité
Elle n'est pas la seule. L'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), chargée par le G20 de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales, craint que l'achat de nationalité ne serve à échapper au fisc de son pays d'origine, en brouillant les pistes et en compliquant les échanges d'informations désormais obligatoires entre autorités fiscales. L'OCDE a lancé des consultations avant d'éventuellement mieux réguler le secteur. Dans sa réponse, la firme Henley & Partners a estimé que le risque d'abus était «assez limité».
Le commerce des passeports maltais s'est aussi retrouvé sous les feux des projecteurs avec l'assassinat de Daphne Caruana Galizia le 16 octobre 2017. La journaliste enquêtait sur la corruption du gouvernement et les «visas en or» maltais. Plusieurs médias européens ont poursuivi son travail et ont pointé les failles du système, assurant que l'obligation de résidence était contournée. Cette mauvaise publicité a-t-elle incité les marchands de passeports à chercher d'autres débouchés? La société Henley & Partners n'a pas trouvé le temps de répondre à nos questions.
L'achat d'une «citoyenneté par l'investissement», selon le jargon des cabinets actifs sur ce marché, n'est pas à la portée du premier venu. Il faudra débourser 250 000 euros pour s'offrir un passeport monténégrin. En plus, les autorités de Podgorica prélèveront 100 000 euros par demande, des sommes qui serviront au développement des régions défavorisées du pays, selon Henley & Partners. «Il s'agit d'un échange mutuellement bénéfique.» La société, qui dispose de 30 bureaux à travers le monde, dont un à Genève et un à Zurich, fait ainsi un effort de transparence, alors que le secteur longtemps très discret est de plus en plus critiqué.
Offre limitée
La vente de passeports monténégrins ne sera valable que trois ans à partir du mois d'octobre et sera limitée à 2000 demandeurs, peut-on encore lire dans le communiqué de presse transmis par Henley & Partners. Le programme avec la Moldavie n'est pas aussi avancé. En effet, la société vient de recevoir le mandat de développer un dispositif similaire de la part de la république de 3 millions d'habitants coincée entre la Roumanie et l'Ukraine.
Lire aussi: «Christian Kälin, l'avocat qui vend des passeports»
Le passeport monténégrin sera un peu plus cher que celui de pays des Caraïbes comme Grenade, Antigua-et-Barbuda ou Sainte-Lucie. Ces micro-Etats ont été les premiers à baser leur développement sur la domiciliation réelle ou sur le papier de super-riches. Pour cette clientèle, le passeport monténégrin présente à première vue un bon rapport qualité-prix. En effet, Henley & Partners fait valoir qu'il permet d'accéder à 123 pays. La société a établi un index des nationalités qui permettent de franchir le plus grand nombre de frontières.
Capitaux considérables
Le Monténégro figure en 42e position dans ce classement dominé par les pays européens, Singapour ou le Japon alors que l'Irak et l'Afghanistan sont en dernière place. Henley & Partners assure que le passeport monténégrin permettra d'accéder à l'espace Schengen - qui comprend la Suisse - même si le Monténégro n'en fait pas partie.
En Europe, Malte et Chypre ont été les premiers à imiter les Caraïbes. Les deux îles méditerranéennes ont attiré des capitaux considérables en vendant leur nationalité. D'autres pays du continent ne sont pas en reste, comme le Portugal. Cette pratique n'a en soi rien d'illégal. Car chaque Etat est libre de délivrer un passeport à qui bon lui semble. Mais, comme Malte fait partie de l'UE et que son passeport ouvre la porte aux autres pays de l'Union, Bruxelles commence à s'inquiéter.
Mauvaise publicité
Elle n'est pas la seule. L'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), chargée par le G20 de lutter contre la fraude et l'évasion fiscales, craint que l'achat de nationalité ne serve à échapper au fisc de son pays d'origine, en brouillant les pistes et en compliquant les échanges d'informations désormais obligatoires entre autorités fiscales. L'OCDE a lancé des consultations avant d'éventuellement mieux réguler le secteur. Dans sa réponse, la firme Henley & Partners a estimé que le risque d'abus était «assez limité».
Le commerce des passeports maltais s'est aussi retrouvé sous les feux des projecteurs avec l'assassinat de Daphne Caruana Galizia le 16 octobre 2017. La journaliste enquêtait sur la corruption du gouvernement et les «visas en or» maltais. Plusieurs médias européens ont poursuivi son travail et ont pointé les failles du système, assurant que l'obligation de résidence était contournée. Cette mauvaise publicité a-t-elle incité les marchands de passeports à chercher d'autres débouchés? La société Henley & Partners n'a pas trouvé le temps de répondre à nos questions.
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